Chronique de l'irresponsabilité
Au lieu d'investir pour éradiquer la pauvreté dans notre pays la France avec d'autres pays européens s'apprête à financer la reconstruction de '' pseudo démocraties arabo- musulmane ''
Voire l'analyse sur les intérêts réels des français sur
Portrait de Tahar Haddad
En Tunisie :
L'essentiel de tous les appels de Tahar Haddad fut pris en compte lors de la rédaction du C S P: En donnant des droits anti-islamiques aux femmes dans le but majeur de rendre institutionnel au nom de la société tunisiennes , d'inscrire dans les faits que les femmes sont des êtres humains et non des marchandises
C'est en inscrivant dans la loi les règles régissant les relations entre les hommes et les femmes dignes des valeurs démocratiques d'un pays civilisé comme le consentement obligatoire au mariage, la création d’une procédure de divorce, l’abolition de la polygamie...
L’échec de Haddad à mettre en pratique ces volontés de son vivant est inscrit dans le succès postérieur d’Habib Bourguiba
" Laïcité ? In chah allah ! "
Séverine Labat, chercheur au CNRS et politologue, dénonce les attaques dont est victime la réalisatrice Franco-tunisienne, Nadia El Fani, en raison de son nouveau film "Ni Allah, ni maître".
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En effet, tandis qu’en son temps, Habib Bourguiba s’autorisa à boire du jus d’orange en public durant le mois de ramadan, il ne semble plus permis, à quelques mois de la chute de Ben Ali, de revendiquer le droit à la pleine liberté de conscience, ni d’afficher ses convictions athées.
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Après un talentueux "Ouled Lenine" ("Les enfants de Lénine") réalisé voici deux ans et relatant le parcours de militants communistes tunisiens, au nombre desquels son propre père, Nadia El Fani, qui a commencé sa carrière auprès, rien moins, de Jerry Schatzberg, Roman Polanski, Nouri Bouzid, ou encore Romain Goupil, nous revient avec un stimulant "Ni Allah ni maître" (projeté au Festival de Cannes le 18 mai).
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Consécutivement à un reportage diffusé sur la chaîne tunisienne Hannibal TV, son nouveau film lui vaut, depuis quelques jours, l’ire d’un islamisme dont les déchaînements commencent à inspirer une crainte non feinte en Tunisie.
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Plusieurs sites, plus ignominieux les uns que les autres, ont ainsi fleuri sur Facebook où cette courageuse jeune femme est représentée sous les traits du diable et autres créatures difformes. Affichant le portait d’Oussama Ben Laden en guise de photographie de profil, ses quelques 33 000 détracteurs n’hésitent pas à lui promettre les flammes de l’Enfer lorsque ce n’est pas, purement et simplement, "une balle dans la tête".
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Son crime ? Avoir simplement déclaré ne pas croire en Dieu ….
D’autres artistes, tels que le cinéaste Nouri Bouzid, ont également fait l’objet de menaces de mort de la part de militants du parti islamiste En-Nahdha. Ces derniers, à peine leur leader historique, Rached Ghanouchi, rentré d’exil, s’étaient illustrés en tentant de mettre le feu aux bordels de l’un des quartiers de la médina de Tunis. Alors que les Tunisiens sont appelés à l'élection d'une Assemblée constituante le 24 juillet, se profile ainsi le spectre de sérieuses batailles politiques pour la défense de l’héritage bourguibien en termes de droits des femmes et d’une certaine conception de la laïcité.
Séverine Labat, chercheur au CNRS et politologue
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Questions
Financer avec le concours financier de la France l'islamisation intensive de ces prétendues '' démocraties naissantes '', où comme je le pressentais ce qui était le pire ferait place au pire des pires...
Faut-il s'étonner du silence de B H L, que n'inquiète pas, partout dans le monde et plus particulièrement en Tunisie et en Égypte, le sort que les islamistes réservent aux femmes ?
Faut-il s'étonner du silence récidivant des gauches et des écologistes à propos des idéologies islamistes incompatibles avec l'égalité homme-femmes ?
Crab 28 Mai 2011
-Suite
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2011/05/20/tunisie.html
et sur les pages
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/0-le-petit-dieu/
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