Cit :C’est dans les musées que j’ai appris le corps de femmes, plus nues, plus vrais, plus sensuels que partout ailleurs, et puis personne ne vous interdit de les regarder longuement. Maurice Rheims.
Bettina Rheims
.Cit :Les femmes que je photographie, elles sont belles. Je crois que j’ai jamais photographié une femme laide. Peut-être que je les rends belles, je sais pas. Bettina Rheims
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Nues ouà peine vêtues honi soit qui mal y pense
Vêtues pas vêtues, les images photographiques de « belles femmes » fontenrager les « féministes » victimistes ( doloriste) ouracialistes dotés d’un humour sans égal au point dene faire pas faire la différence entre le travail photographique de Bettina Rheims et certainesdes photos publiées dans" Lui " - hors, c’est une très bonne chose de savoir que les " hommeshétéros" et les " femmeshétéros"aimeront toujours voir des femmes dénudées, à peine vêtues...mais aussi vêtues, sans nécessairement passer par Chanel qui par momentétait une drôle de Coco, parcequ’une femme qui se sait séduisante au combiensait s’habiller
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Ce type d’images jamais vues auparavant, signéesBettina Rheims
842 de notre ère, date de naissance en Occidentde la grande famille de la pudibonderie sans frontière plus que moins inspirée par la religion, hors depuis,d’un siècle à l’autre, bien que vigoureusementmalmenée par les artistes, à notre époque,se livre encore à la plus perverse des résistances -voicià présent, au grand damdes apôtres porteurs de la peur du sexuel dans la société,qu’au cours deces dernières décennies Bettina Rheimscrée des images érotiques qu’on avait pas encore vues, :une femme se déshabille non pas devant un regard d’homme,mais devant un regard de femme,prenant parfois,au fil de la journée ou du temps, le droit, de casser ou de piétiner « son jouet », au point de rendre l’histoire d’allure de plus en plus trouble;
untype d’images nouvelles dans l’art photographiqueobtenues avec l’appareil, certes, une sorte d’instrument de pouvoir qui resterait totalement inefficace, en tous cas peu sensible,privé decette complicité perceptible entre femmes, maisque savent apprécieret soutenir passionnémentles" hommeshétéros"ou les" femmeshétéros"qui aiment les femmes...mais la " Naissance de l’intime "une expression de la culture totalement inaudibledans certainsdesespacesde notre société pétrifiés parles dégâts collatéraux que cause l’inculture ou les idéologies imposées par lecommunautarisme, dont lesthématiqueshyper-asexuées sontreprisesparfois par des associations « féministes » d’un infantilisme confondant;
sont-ils en si grandnombre que ça les " hommeshétéros"et les " femmeshétéros"de toutes origines ethniques qui aiment vraiment les femmes...?
En tout cas, pas vraiment dans unensemblecommunautairedominé par des populations maladesdu corpsmajoritairement installée dans un environnement islamisé ou fortement orthodoxe...
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ELLEpose maisne joue pas...c’est bien plus fort...
C’est une tradition plus ancienne que le féminin de vouloir déshabiller les femmes - cependant, ce n’est pas écrit dans l’Ancien Testament ni dans le Nouveau Testament ni dans le coran, mais, une personne avertie en vaut deux, ne comptez pointsur le soutien des associations de« féministes » victimistes ( doloriste)et/ouracialistes ethnicisant sans à propos...sinon peut-être, dans un futur lointain, si lointain delointain... peut-être bien, rendu possible aprèsun ad hoc décrassagede l’inconscient...qui sait vraiment...
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Vidéo,Bettina Rheims - diffusé par Arte, extrait :
http://blvids.free.fr/Maurice_Rheims.mp4
CRAB
Camille Claudel
http://laicite-moderne.blogspot.com/2018/07/la-vie-en-blanc-et-noir.html
Croire en dieu et dans l'eau-delà est l'expression de la détestation de la vie. Croire ou vouloir une autre vie après la mort est une expression majeure du nihilisme.
RépondreSupprimerLa religion au même titre que la pudibonderie sans frontière, c'est le clonage des esprits. Les religions sont des Fake news d'un autre temps. La recherche de l'éthique doit-être permanente.
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