jeudi 24 janvier 2019
Se taire – c’est se voiler la face
Résultats....au 24 Janvier 2019
Son livre « Lettre aux femmes voilées et à ceux qui les soutiennent» est disponible en librairie
Le monothéisme sacralise la haine des femmes, se déclarerféministe ou pas-que féministen’est possible quand dehors des religions monothéistes
Vidéo -
http://blvids.free.fr/Lettres_aux_femmes_voil%C3%A9es.mp4
Suite : Le troisième sexe ou l’enfoulardement des femmes
http://laicite-moderne.blogspot.com/2018/12/le-troisieme-sexe.html
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Féminisme de boudoir parisien - Un livre, il y a dix ans, puis plus rien... ?
RépondreSupprimerCitation - "n'intéressent pas les féministes"? Ras le bol de ces généralisations. "Les" féministes sommes diverses. Beaucoup d'entre nous avons pris position depuis longtemps contre le voile. Dans "Même pas mâle" publié en 2009, mon dernier chapitre s'intitule "Ni foulard ni trottoir". Isabelle Alonso
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Jeannette Bougrab a raison, c’est tous les jours qu’il faut défendre ou soutenir les vraies femmes...CRAB.
Le monothéisme sacralise la haine des femmes, se déclarer féminisme ou pas-que féministe n’est possible quand dehors des religions monothéistes.
RépondreSupprimerLe féminisme universel se moque de la couleur de la peau et, au nom de la ressemblance de genre, à l'exemple d'Élisabeth Badinter ne lâche jamais rien.
RépondreSupprimerCombattre l'islamisme c'est, dans le même temps, combattre les pseudo féminismes doloristes ( type balance ton porc ) ou les féministes de l'intersectionnalité qui, Hitler aurait pu en rêver, introduisent le biologique dans le féminisme.
" Féminisme islamique " est un oxymore - il n’y a que des enfoulardées ou des enburqanées volontaires qui pensent non pas avec leur tête mais avec leur sexe, une manière d'exister ou de ne pas être qui vise à poignarder dans le dos les femmes émancipées.
RépondreSupprimerRéponse aux lecteurs
RépondreSupprimerIl est essentiel de lutter contre la victimisation du genre féminin ; le féminisme universel est un féminisme de conquête qui ne manque jamais de mettre en valeur les femmes qui font de grandes choses ou en dépit de tous les interdits s’imposent par leur manière d’être, ce que ne rend jamais compte le féminisme victimiste
Le féminisme victimiste, doloriste, de l’intersectionnalité cherchant à introduire le biologique dans le féminisme sont aussi toxiques que la sacralisation des patriarcats par les religions du monothéisme
Chaque fois que je m’apprête à lire un texte victimiste ou racialisé* destiné à essentialiser les hommes ( * mais aussi, la femme blanche ) commençant par " les hommes sont... les hommes doivent ou encore il faudra (verbe ) les hommes ", je sais immédiatement pour ne pas perdre de temps, mais néanmoins vérifier, que je vais lire ce laïus en diagonale
Une femme qui se sait séduisante sait s’habiller - La féminité est éternelle, elle ne se perd jamais !
RépondreSupprimerUn DIManche particulier - - Suite -
https://laicite-moderne.blogspot.com/2016/09/un-dimanche-particulier.html
Femmes Saoudiennes
RépondreSupprimerEn Arabie Saoudite, pays sans honneur, les femmes sont géolocalisées grâce à une application - une application mobile “ espionne ” nommée Absher
Toutes les cultures ne se valent pas
...on n'arrête pas le progrès... l'islam du plus saint des pays du monde musulman a de grands savants d'un immense talent ( un Nobel par semaine ) dont la conscience n'est point ruine de l'entendement - en rire si possible...
Interdire aux femmes lucides de fuir ce pays d’arriérés dont il faudrait respecter la culture selon nos propres idiots utiles
Qui l’eût cru ? - l’Arabie Saoudite, le berceau d'une religion de paix et d'amour ( sans doute pour pour les petits mecs de la Mecque ) : Bientôt une puce sous la peau et un tatouage à l'oreille en attendant de pouvoir changer la mémoire dans le cerveau des femmes – on n’arrête pas le progrès...
Religion sans conscience n’est que ruine de l’identité féminine.
RépondreSupprimerFéminisme de conquêtes : Le féminisme universel, c’est la qualité de la relation entre une femme et un homme par le rejet des maux pour le plaisir des mots.