Monnaie Gallo-romaine - Aureus ( pièce d'or ) représentant Annia Galeria Faustina ( Faustina la Jeune )
Née vers 132 – Rome, Latium, Italie
Décédée en 176 – Halala, Anatolie,Turquie, à l'âge d'environ 44 ans
Inhumée en 176 - Mausolée d'Hadrien – Rome, Latium, Italie
Impératrice romaine susnommée la«mère des camps » elle accompagne dans ses campagnes, l’empereur Marc Aurèle ( son deuxième époux )
Bien que réputéetrès volage Marc Aurèle refusa malgré cela de se séparer d’elle
Elle réunit l’ambition d’une Agrippine aux légèreté d’une Messaline
Après sa mort son époux ne se remariera pas
Bien que réputéetrès volage Marc Aurèle refusa malgré cela de se séparer d’elle
Elle réunit l’ambition d’une Agrippine aux légèreté d’une Messaline
Après sa mort son époux ne se remariera pas
Noter la qualité des coiffures... « je ne peux suivre la mode, chaque jour introduit un style nouveau, une mode nouvelle ».Ovide ( né en 43 avant notre ère )
Faustina la Jeune
Diane – Nîmes
« mortel immortel »
Inexistant chez les grecs et les romains, nous devons aux gaulois le principe existentiel de l’égalité femmes-hommes, un principe, une modalité relationnelle rare au sein de la société antique
Cependant, durant la " Pax Romana" nous savons que nos ancêtres gallo-romains, savoyards et Francs-comtois avaient pour eux, et ce n’est pas rien, le sens de l’honneur – hors, 1700 ans plus tard,dansune société française où avaient pris corps les idéologies religieuses d’unmonothéisme racine du pire des sectarismes, bien que, à notre époque,la majorité de nos compatriotes soit sans religions’observe à nouveau ce besoin toxique de rangerles individus dans des catégories dont le pire et le plus négatif des marqueurs est le communautarisme musulman
Alors, que reste t-il du sens de l’honneur - honneur qu’accorde à toute personne le statut de " Citoyen " quand «le sens de l’honneur» est placé, au nom de la famille ou du clan, en-dessous de la ceinture des filles - l’autonomisation des femmes reléguée, renvoyée, niée par la religion, plus particulièrement musulmane à notre époque ou quand la pudibonderie sans frontière d’origine anglo-saxonne fait des ravages en victimisant les femmes ?
Faire de la femme une petite chose fragile pour les uns ( moins anglo-saxon que moi tu meurs),influençable tout en étant une terribletentatrice, une ensorceleuse sévère qu’il faut priver de liberté ( virginité et fidélité conjugale) pour les autresinsupportés de l’idée d’une cassure de la lignée par le sangle basique reflet d’uncondensé idéologique des patriarcats musulmanssacralisés par lemonothéisme, une bonne partie des « féministes » semblent l’oublier, pourquoi ?–CRAB
Nota – l’urgence n’est plus à la critique de la chrétienté ( c’est fait ), mais à la déconstruction de l’islam
Suite :
Suite 2 :
Notes : Le Moyen Âge s’étend sur plus de mille ans.
RépondreSupprimerLes historiens des textes le font débuter en 476, à la fin du règne de Romulus Augustule, dernier empereur romain d'Occident, ou en 496, date du baptême de Clovis. Il se termine soit en 1453, avec la prise de Constantinople par les Turcs et la fin de l'Empire romain d'Orient, soit en 1492, date de l’accostage de Christophe Colomb sur le continent américain, ou encore à la mort de Louis XI en 1481.
Opposer la réalité-réelle au monde des idées.
RépondreSupprimerNe pas confondre " un passage " avec " de passage"
Citation :
Ce qu’il y a de grand dans l’homme, c’est qu’il est un pont et non un but : ce que l’on peut aimer en l’homme, c’est qu’il est un passage et un déclin.
J’aime ceux qui ne savent vivre autrement que pour disparaître, car ils passent au-delà. NIETZSCHE
( Ainsi parlait Zarathoustra ) Fin de citation.
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L’immanent
La mort est absence de sensation, nous ne sommes pas de passage mais un temps sur terre, et à l’exception d’incurables monothéistes nous savons que nous avons une deuxième vie quand on n'a compris qu'on en n'a qu'une.
Enfin, il nous appartient de ne pas ignorer que le présent s’apprécie présentement puisque ce moment ne revient jamais. CRAB
Il n’y a aucune différence entre une enfoulardée volontaire ( sous-servitudes ), un platonicien, un paulinien et Don Quichotte, les uns et les autres sont persuadés que la vérité est dans les livres et non dans le réel.
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