Les trois piliers de la consommation.
1 - La financiarisation de l’économie.
2 - L’édification d’une économie de sollicitations et d’obsolescence programmée.
3 - La raréfactiondes produits consommations courantes pour les vendre plus chers.
Participer à la décroissance chez soi.
Réduire la consommation, chez soi, c’est économiser les ressources de la planète.
Dans un moment de l’histoire ou plus que jamais la décroissance s’impose l’abandon de plus de cinq cents produits phytosanitaires commercialisés pour l’agriculture ou le paysage d’ornement.
L’abandon de plusieurs milliers de shampoings parfaitement inutiles, - à titre indicatif, je n’utilise que du vrai savon de Marseille, pour me laver le corps, les cheveux et me raser.
L’écrasante majorité des liquides vaisselles mis sur le marché sont fantaisistes, et certains sont dangereux pour la santé de certaines personnes, idem pour les produits de lessives du lave-vaisselle et du laver-linge - consulter les tableaux comparatifs des associations de consommateurs.
Afin de nettoyer les sols ou les parois des pièces humides, j’utilise dans la plupart des cas, de l’eau chaude ou encore de la vapeur d’eau chaude, et plus rarement du vinaigre-surpuissant pour aseptiser les éléments sanitaires ou autres éléments ménagers...
Acheter avisé, y regarder à deux fois, bio - si l’on en a les moyens, c’est se qui caractérisera la volonté de décroissance à la portée de tous.
Procréation.
Il serait bien que les couples, lesquels n’imaginent pas leur vie sans enfants de ne pas en faire plus de deux...ect...ect...ect...
Habitat–choisir entre le Hulot des villes ou le Hulot des champs.
Dans notre pays l’urbanisation*1mal maîtrisée fait perdre l’équivalent d’un département dont l’essentiel de la surface est une terre agropastorale. CRAB
*1 -
À l'attention de P....k - Économie de sollicitations signifie : inventer ou créer des désirs pour vendre toujours plus de produits nouveaux mis sur le marché dont la plupart ne correspondent à aucun besoin réel.
RépondreSupprimerÉlections Europe
RépondreSupprimerStaliniens au possible, ce que les médias privés racontent on s’en fout, mais ce qu’annoncent les médias du service public que nous finançons n’est pas acceptable : RN à 24,2 %, LaREM à 22,4 %, alors qu’en tenant compte de l’abstention il ne s’agit que pour le RN rn 12,1 % et LAREM 11,2 % des électeurs.
L’injonction de s’adapter à la mondialisation au nom d’un toxique pragmatisme revient à s’en remettre à un dieu, c’est comme s’en remettre au néo-libéralisme macronien ambiant, finalement c’est infantile, c’est faire preuve de faiblesse et douter de la démocratie.
RépondreSupprimerLe traité de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada a été approuvé par l’Assemblée nationale mardi, alors que la règle, c'est de consommer modérément des produits "dits de proximité " pour diminuer l'empreinte carbone, sans compter que globalement la décroissance s'impose.
RépondreSupprimerDans Charlie hebdo cette semaine Fabrice Nicolino que j’apprécie, néanmoins à tort de placer l’analyse de Michel Onfray presque sur le même plan qu’Attard, P. Bruckner, L. Alexandre et quelques autres. La démarche de M. Onfray, est, avant tout, une démonstration de l’infantilisme des adultes.
RépondreSupprimerÀ l’attention de Géraldine : Cessons d’être de grands naïfs
RépondreSupprimerIMMIGRATION
Le DROIT des migrants, c’est de pouvoir vivre décemment dans leur pays d’où la nécessité pour la France et la communauté internationale de changer de politique étrangère.
.
L’argument le plus fallacieux développé par les pro-immigration " l’Europe se dépeuple, l’immigration est indispensable pour payer nos retraites ".
.
Hors, c’est omettre de rappeler que les retraites peuvent-être financées par l’impôt et que le dépeuplement est une bonne chose puisqu’il faut économiser les ressources de la planète.
.
Le mot progrès n'aura aucun sens tant qu'il y aura des enfants malheureux
RépondreSupprimerLe monde est dangereux à vivre ! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire. Albert Einstein.
De nombreux ouvrages s’en prennent au totem de la croissance. Le prochain à paraître, Sortir de la croissance, mode d’emploi, de l’économiste Éloi Laurent (Les Liens qui libèrent, 10 octobre 2019), se livre à une déconstruction méthodique des vertus supposées et depuis longtemps surannées de la croissance économique.
RépondreSupprimerEt les Français suivent massivement le mouvement. Selon un sondage Elabe réalisé pour Les Echos, Radio Classique et l’Institut Montaigne, paru le 3 octobre, plus de 7 Français sur 10 (72 %) estiment que le modèle économique actuel n’est pas compatible avec la protection de l’environnement. Encore plus radicale, une autre étude réalisée par YouGov pour l’Ademe et le baromètre Greenflex estime que 57 % des Français veulent « complètement revoir notre système économique et sortir du mythe de la croissance infinie ».