" L'absurde, c'est la raison lucide qui constate ses limites."
Albert Camus
Le théâtre de Taormina, vision du théâtre grec antique
Selon Gustav Klimt
Un lecteur musulman m'écrit :
« L'imâm Ash-Shâfi`î a mémorisé le Noble Coran avant l'âge de 7 ans. Il a été appelé Nâsir As-Sunnah ( celui qui a donné la victoire à la Sunna ) par les savants du Hadîth. Il était le soleil des juriste, le défenseur de la Sunnah et le modèle des savants. » Fin de sa '' profession de foi ''
Avant propos
C'est une épithète qu'on peut lire sur tous les sites islamistes comme s'il s'agissait de quelque chose de remarquable !
Vantardise
La compréhension du sens des contenus d'un livre n'est pas confirmée du seul fait de lire et de mémoriser le texte
Mais que peut-on attendre de gens endoctrinés dès leur plus jeune âge qui par voie de conséquence manifestement paraissent ignorer ce que l'on entend par la critique théorique de toute théorie?
Coran : Une idéologie non critiquée ?
Si Ash-Shafi'î avait compris que le coran est un texte rédigé sur mesure par des hommes pour les hommes, il aurait eu honte pour le genre masculin, ne serait pas devenu mufti ; dans un acte salutaire, pour le bien de l'humanité il aurait jeté ce texte misogyne, sexo-séparatiste, homophobe et xénophobe dans les poubelles de l'histoire
Cit/ : Le défi
« Vivre une expérience, un destin, c'est l'accepter pleinement. Or on ne vivra pas ce destin, le sachant absurde, si on ne fait pas tout pour maintenir devant soi cet absurde mis à jour par la conscience... Vivre, c'est faire vivre l'absurde. Le faire vivre, c'est avant tout le regarder... L'une des seules positions philosophiques cohérentes, c'est ainsi la révolte. Elle est un confronte-ment perpétuel de l'homme et de sa propre obscurité. Elle remet le monde en question à chacune de ses secondes... Elle n'est pas aspiration, elle est sans espoir. Cette révolte n'est que l'assurance d'un destin écrasant, moins la résignation qui devrait l'accompagner » - Albert Camus
Théâtre de Taormina
Dans le '' théâtre de l'absurde '' : « En attendant Godot » de Beckett, les deux personnages parlent mais donne l’impression que chacun d’eux a un discours différent – une façon de montrer comment fonctionne une communication impossible, les limites des irréconciliables, marquée par le refus de dialoguer et le besoin d’asséner '' des vérités ''
Crab – 18 Septembre 2011
N'y aurait-il personne pour changer le jeu ?
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