Durant la conférence de presse, ce matin, avec le Président François Hollande aucun ni aucune journaliste n'a interpellé le Président tunisien sur le sort d'un incroyant condamné à sept ans prison, pas un mot sur la censure du film '' Persepolis '', de '' laïcité in chah allah '' ni à propos d'une amende d'environ 1200 euros, pour chacun des accusés, infligée au patron de la chaîne de télévision Nessma, au responsable de la production et à un technicien de la chaîne
Suite :
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire