C’est encore la faute des juifs,
ils sont partout, partout, partout: figurez-vous que l’un d’entre-eux Bernard Giberstein inventa les bas nylon Dimanche et les collants sans coutures, puis un autre Marcel Bleustein-Blanchet*1publiciste de génie lesfait connaître de toutes les femmes sous la marque DIM – conséquence l’apparition presque spontanée dans l’espace publicde belles jambes qui ne voulaient plus se cacher après des siècles ou montrer ses chevilles était le premier des péchés capitaux, enfin lamini ou la jupe courte fut et vint couronner le grand TOUT de la féminité assuméepar de jeunes femmes qui ne se prenaient pas au sérieux, elles furentet sont pour nos jeunes générationsdécomplexées l’expression de la vie – ô lala, ô lala,quel grossemalheur, les enfoulardées et les enburkinidées vont en faire une jaunisse – mais, maispas seulement...
[ 1*: père d’Élisabeth Badinter, philosophe, femme de lettres, vraie républicaine et vraie féministe qui ne craint pas d’êtreaccusée d’islamophobiepar ses meilleurs pourceaux d’Épicure ]
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Une femme qui se sait séduisante sait s’habillerDès 1968 quand il ne restait plus que le soutien-gorge [ et encore ], les pudibonds pour la plupart émanant de mouvements anglo-saxons ou pseudo-féministes patentés issus des trois quarts mondes se sont mobilisés effrayés à la vue d’un sein ou encore à la vue d’une poitrine nue, depuis d’une décennie à l’autre n’en finissent jamais de tenter d'idéologiser le corps de la femme ;
le point d’orgue, summum de la crétinerie la plus sordide intervient quand, dans l’espace public, sans pudeur ni faire preuve de la moindre retenue, se fait jour l’exhibitionnisme forcené d’enfoulardées et d’enburkinidées qui entendent essentialiser les hommes en se couvrant islamique des pieds à la tête, pourquoi ? :
simplement parce que ces « femmes» ou ces ombres couvertes d’un linceul mortuaire appuyées par leurs soutiens pudibonds de toutes origines n’ont pas compris ou affectent de ne pas comprendre que pour unefemme éduquée et cultivée l’essentiel, le primordial est la réappropriation de soncorps tout en étant parfaitement consciente que la séduction est faite pour elle même etpas pour plaire aux hommes
[ Ce qui n’interdit pas aux hommes d’y être sensible, et pour le meilleur - nous n’en douterons point... ]
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La féminité est éternelle, elle ne se perd jamais !Mais ce moyenâgeux monde des pudibonds fixés des deux cotés de l’Atlantique, dont entre-autres les enfoulardées et les enburkinidées sont la partie visible de l’iceberg, ce n’est cependant pour ces dernières qu’un feu de paille qu’il est néanmoins juste et nécessaire d’éteindre au plus vite quand on sait que 28 % des musulmans installés en France sont pour la charia, et ce d’autant plus qu’après des siècles d’enfermement corseté ou ferraillé du corps de la femme [ excepté dans l’Antiquité ], leurs plus belles journées ne vaudront jamais les plus beaux DIManche des années de bonheur marquées du sceau d’un féminisme intense et insécable, à présent gravé dans le marbre de l’imaginaire collectif et plus particulièrement culturellement celui des femmes, et que plus rien ne peut effacer
Désormais, les femmes cultivées,émancipées ou insoumises savent que le plaisir de se plaire est la racine de la morale féminine - vidéo 1:
http://blvids.free.fr/DIM.mp4
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Vidéo 2 :
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Suites:Tartuffe les armes à la mainhttp://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/09/tartuffe-les-armes-la-main.html
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ou sur :http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2016/09/15/tartuffe-les-armes-a-la-main-5848036.html
Crab – 30 Septembre 2016
À l’adresse de F....a ( algérienne )
RépondreSupprimerDiscuter avec des enfoulardées volontaires, c’est vainement débattre avec des femmes sans conscience dont l’entendement est ruiné par le clonage des esprits au nom de la religion.
Par opposition au #HijabDay, un mouvement se répand à travers les pays musulmans: des femmes voilées célèbres apparaissent publiquement sans leur tissu islamique. Et provoquent l’ire des islamistes qui croyaient voir en elles des « soeurs »…
RépondreSupprimerEn réaction à la campagne #Hijabday, lancée le premier février, et destinée à faire la promotion du voile, certaines féministes, parmi elles l’écrivaine Jamila Benhabib, lancent le #NoHijabDay. Il s’agit avant tout de dénoncer le danger de la normalisation du port du foulard islamique : « Si ce voile n’était qu’un vêtement comme un autre, il ne serait pas imposé avec autant de vigueur et de rigueur aux Iraniennes et aux Saoudiennes, pour ne citer que ces deux exemples. », déclare l’initiatrice du mouvement.
S’enfoularder volontairement, c’est accepter le statut de sexe sur pattes et en même temps c’est donner aux enfants un signal péjoratif sur l’identité féminine. – Suite : Islam - ‘’ Le troisième sexe ‘’
RépondreSupprimerhttps://laicite-moderne.blogspot.com/2018/12/le-troisieme-sexe.html
Il serait bon de rappeler l’histoire du niqab ou burqa (voile intégrale) à celles qui le portent, peut-être qu’en connaissance de cause elles se vêtiront-elles autrement.
RépondreSupprimerDans la mythologie de la Mésopotamie (l'actuel Irak), le niqab ou burqa est porté par les femmes qui veulent honorer la déesse le l'amour public, Astarté ou Ashtart.
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Celle-ci, pour être bien honorée par les femmes, oblige celles-ci à se prostituer une fois l'an, dans les bois sacrés qui entourant son temple.
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Pour ne pas être reconnues quand elles allaient s'offrir à des inconnus de passage, les femmes de la haute société mésopotamienne prirent l'habitude des se voiler totalement.
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Celles qui pratiquent, aujourd’hui, le «jihad nikah» (prostitution sacrée), en Syrie et ailleurs, en se couvrant de la tête au pied, ne font en réalité que ressusciter une tradition bien antérieure à l’islam, et qui n’a rien à voir avec cette religion.
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Mustapha Kamel Atatürk, premier président de la Turquie de 1923 à 1938, avait trouvé la bonne astuce pour que les femmes turques abandonnent la burqa, en décrétant une loi avec un effet immédiat, qui stipule ceci: «Toutes les femmes turques ont le droit de se vêtir comme elles le désirent. Toutefois, les prostitués doivent porter la buqa.»
Béchir Turk