jeudi 16 février 2017

Une Femen condamnée


Exhibition sexuelle : une Femen condamnée

Extrait de presse :
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« Le caractère cultuel du lieu où a été commise l'infraction supposée a manifestement pesé dans la décision de la cour d'appel », a estimé Me Tewfik Bouzenoune. Une analyse partagée par l'avocat de la partie civile, Me Laurent Delvolvé. «Cette décision est la juste reconnaissance du fait que tous les agissements ne sont pas autorisés au sein d'une église», a déclaré le conseil du curé de l'église de la Madeleine, à qui l'ex-Femen devra payer 2.000 euros de dommages et intérêt, en plus des frais de justice.
Me Bouzenoune dénonce donc un retour du «délit de blasphème, pourtant supprimé en droit français», et un «deux poids deux mesures ». Il cite en effet le cas d'une Femen qui avait mené une action au Musée Grévin en 2014. Condamnée en première instance pour exhibition sexuelle, elle avait finalement été relaxée en janvier devant la cour d'appel de Paris. « La justice retient le délit d'exhibition sexuelle dans une église, mais pas dans un musée… Cela revient à retenir une circonstance aggravante selon que le délit supposé a été commis dans un lieu cultuel ou non. C'est proprement scandaleux au regard de la loi de séparation de l'Église et de l'État», avance Me Bouzenoune.
Après la relaxe en appel de la Femen du Musée Grévin, Éloïse Bouton devient la première Femen à être condamnée en France pour exhibition sexuelle. La jurisprudence est encore mouvante sur le sujet: dans son arrêt de relaxe, la cour d'appel de Paris avait estimé que l'exposition d'un corps nu de femme, «en dehors de tout élément intentionnel de nature sexuelle », ne pouvait être qualifiée d'exhibition sexuelle. En mars 2016, trois Femen poursuivies pour les mêmes faits avaient aussi été relaxées, après une action contre Dominique Strauss-Kahn devant le palais de justice de Lille, où il comparaissait pour proxénétisme. Le conseil d'Éloïse Bouton a déjà annoncé son intention de se pourvoir en cassation. Par Edouard de Mareschal - ( http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2017/02/15/01016-20170215ARTFIG00366-exhibition-sexuelle-une-femen-condamnee.php)

I
Le NU, c’est l’animal humain dans sa plus belle robe, mais qui donc s’en plaindrait ?
Cloué sur une croix, pratiquement nu, à peine vêtu d’un extravagantcache-sexe, la tentative saugrenuedesoustrairedesregards les plus coquins, à l’ultime seconde de vie, la dernière et libératriceérection du Christ tout juste avant que ne s’affiche sur son visage unedernièreet bien décevantegrimace;
personnage fictif éminemmentpernicieuxet mystificateur, ilaurait selon ses bailleursinventé « le péché pour tous»avec cette niaiseprétention à lui seul de racheter l’humanité- visible dans les églises la poitrine nu pour laplus grande jouissancede ses adoratrices hétéros et adorateurs Gays, il s’entend que la « représentation » dans les églises de cette créature masculine née de la maladie d’illusions ne pose aucun problème de conscience à « nos» défenseurs des « bonnes mœurs» qui n’y voit pas la plus petite sexualisation du corps de leur idole

Éloge
À nos bien-aimésbigot-e-s n’attendons pas pourleur poserla divine question qui fâche :dès-un peu avant Mai 68, plus sûrement à partirde la libération sexuelle due pour l’essentiel aux femmes pour les femmes ainsi qu’aux libertin-e-s, pourquoi la majorité d’entre-elles allaient, sans-être accompagnées, si souvent se recueillir à l’église ou parfois se faire cueillir derrière l’église, juste à coté de la tombe de leurs grands-parents ? - CRAB

I
Suites-Blasphème - déroulé d’articles :
http://laicite-moderne.blogspot.fr/search?q=Blasph%C3%A8me

I
Suites 2: L’athéisme à l’école
http://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/01/latheisme-lecole-chapitre-n1.html


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