jeudi 12 avril 2018

Avril 2018 - Interviewe du chef de l’État


Diogène


Pernaut, Bourdin et Plenel ou quandune case journalistique peut en cacher une autre
Ça- c’est pour l’apéritif, le Président de la République pour sa grande interviewediffusée ce Jeudi par TF1 d’abord en face de Jean-Pierre Pernaut, pas grand chose à dire d’une opération chloroforme, puis Dimanche prochain sur BFMTV et Médiapartle chef de l’État à choisi pour interlocuteur le messager d’Allah Edwy Plenel(l’ami de Tarik Ramadan grand héritier des frères musulmans)qui est à la laïcité ce qu’une théocratie est à la démocratie au lieu de se mesureràla pertinence du questionnement émanantde vrais républicains tels Élisabeth Badinter, RissouHenri Peña-Ruiz,étonnant, non ?

Au lieu de Michel Onfray, le Président de la République a préféré un Jean-Jacques Bourdin qui n’est pas foncièrement contre l’extension du Concordat religieux ni pas vraimentcontestataire des politiques libérales européennes, là encore, pas vraiment de quoi s’étonner - CRAB

Suite:
http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/04/laicite-en-mai-2018.html




1 commentaire:

  1. Rappel : le Gouvernement Hollande avait organisé l’enseignement du fait religieux à l’école sans planifier en contrepartie l’enseignement du fait athée – à présent, c’est dans la continuité d’autres interventions sur le terrain de la religion, devant les évêques de France que Macron en demandant à ce que la religion intervienne dans le débat public jette le discrédit sur l’ensemble des libertés individuelles obtenues contre les religions ou les représentants des hiérarchies monorhéistes dont ( entre-autres ) la liberté de la pensée, le droit de s’inventer une morale personnelle, les droits des femmes, l’égalité des droits obtenus par les homosexuels
    C’est laisser entrevoir que la recherche permanente de l’Éthique lors de chaque débat citoyen que traduit la loi commune serait dénué de toute spiritualité par rapport à la spiritualité non-laïque du religieux – mais Macron s’y cassera les dents car rien, désormais, ne fera reculer les 64 % de jeunes de 16 à 29 ans qui, désormais, se déclarent non-croyant, et c’est parfaitement inutile d’imaginer que la religion leur fera oublier ni l’absence de perspectives ni les injustices sociales de tous ordres.

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