lundi 24 décembre 2018

Féminisme sexiste ou l’ostrakon très con


Réponse auxlecteurs –oui,le féminisme prend,lui-aussi,dans bien des cas une forme sexiste
L’humain et sa cultureselon le principe d’uneAnthropologie inspirée par l’humanisme des " Lumières ",par les philosophies de l’athéisme, les idéaux véritablement républicains ou démocratiques dont le " féminisme universel "qui vise à la déconstruction d’un ostracisme généré par les « féminismes» sexistes de l’oumma, de la victimisation, de l’intersectionnalité ou racialisé dans l’objectif plusou moins avoué d’installerun " féminisme identitaire", notamment s’accommodant del’enfoulardement des femmes, mais aussidans la perspective d’essentialiser les hommes et plus particulièrement l’homme blanc sinon pire viser en finalité d’ostraciser la femme blanche*1occidentale primat de l’épopée féministe
*1– la femme blanche occidentale, son crime " avoir oser donner ses lettres de noblesses au féminisme universel ", lettresreprésentatives, au nom de la ressemblance de genre, d’un féminisme qui ne connaît pas la couleur de la peau pour ne retenir que la notion de l’égalité femmes-hommescomprenant ( entre-autres )la mixité dans l’espace public – soit une cohérence féministe aux antipodes des inégalitairesbouffées de délires d’une Caroline de Haas ou d’une Danièle Obono, toutes deux étrangement très médiatisées – mais au fait, pourquoi donc....cette forte médiatisation?

Comptantparmi les plus récents, les exemples anti-républicains, mais aussi générés parce féminisme sexiste auront été les lois mémorielles ( lois Taubira ),la loi sur la parité obligatoire, la loi sur la prostitution à la place d’une loi destinée à traquer le proxénétisme ou l’esclavage sexuel, la libération de Catherine Sauvage marqueur, comme sous l’ancien régime, dela meilleure façon de bafouer par le fait du prince la Justice de notre pays. Et j’en passe...notamment en matière de laïcité -CRAB

Notes- Rappels
Les mobilisationsféministes, en tant que mouvement socialrevendiquant l’égalité entre les sexes, ont débuté dans les années 1860, en France
Ce qu’il en est à notre époque
Aujourd’hui, depuis 89, au fil des décennies, la lâcheté a emporté les gauches, qui ne défendent plus qu’en paroles et non en actes l’égalité femmes-hommes et la laïcité pourtant l’une et l’autreindissociables contre le communautarisme afin de maintenir sur l'ensemble de nos territoires les droits universels de la femme et de la citoyenne en parfaite égalité avec les droits universels de l’homme et du citoyen
Se souvenir que lesgaucheset lesdroitesétaient déjà très divisées en 1989, lorsque cinq intellectuels –Élisabeth Badinter, Régis Debray, Alain Finkielkraut, Élisabeth de Fontenay, Catherine Kintzler –ont pris le parti de demander aux professeurs de tenir bon face au voile dansune tribune intitulée : « Ne capitulons pas ! »)

Cit- " Sur-réagir à propos de tout ce que fait ou dit une personne crée des polémiques sur des choses sans importance comme ce que j'ai choisi ou non de porter. Ça ne nous fait pas avancer. Cela nous détourne des vrais problèmes. Ressaisissez-vous ! ", Jennifer Lawrence
De la même manière un dieufut-il « féministe [ MDR] » imaginer, ai-je souvent écrit, qu’ils’occupe de ce quise trouve rangé dans votre réfrigérateur ou votre penderie – franchement dites-moi, n’est-ce pas du plus élémentaire desri-di-cu-les?


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1 commentaire:

  1. Réponse aux lecteurs
    Il est essentiel de lutter contre la victimisation du genre féminin ; le féminisme universel est un féminisme de conquête qui ne manque jamais de mettre en valeur les femmes qui font de grandes choses ou en dépit de tous les interdits s’imposent par leur manière d’être, ce que ne rend jamais compte le féminisme victimiste
    Le féminisme victimiste, doloriste, de l’intersectionnalité cherchant à introduire le biologique dans le féminisme sont aussi toxiques que la sacralisation des patriarcats par les religions du monothéisme
    Chaque fois que je m’apprête à lire un texte victimiste ou racialisé* destiné à essentialiser les hommes ( * mais aussi, la femme blanche ) commençant par " les hommes sont... les hommes doivent ou encore il faudra (verbe ) les hommes ", je sais immédiatement pour ne pas perdre de temps, mais néanmoins vérifier, que je vais lire ce laïus en diagonale

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