Sous les caresses de mes nombreux partenaires, je me sens belle et je veux en profiter. Pourquoi en faire mystère ?
Pour moi, tout a commencé lors d’un repas de communion. Je ramassais quelque chose sous la table quand j’ai vu la main d’un homme massant furtivement le sexe de sa voisine. Je me suis redressée comme si je n’avais rien vu. Puis, j’ai discrètement observé l’expression du visage de cette femme. A un moment, nos yeux se sont croisés. Une connivence, quelque chose de trouble s’est insinué en moi. J’ai eu envie de faire comme elle, de fondre sous les doigts d’un homme.
Cette envie ne m’a jamais quittée.
Après mon divorce, je n’avais plus de contraintes. Pourquoi lutter ? Mon seul guide était le plaisir, la recherche de sensations nouvelles. Cela a commencé avec le fils d’une amie en mal de dépucelage et dont j’ai guidé le sexe entre mes jambes en me montrant très douce, pour faire plaisir à sa mère. Puis, ce furent d’anciens amis, des collègues, les rencontres inopinées, délassantes, sans lendemain.
Certains disent que je suis nymphomane.
C’est un mot horrible. Un mot de médecin. Je suis seulement le produit de mes désirs. Je me souviens que l’on prêtait à Casanova 122 conquêtes. Et bien, je n’en suis pas encore là !
Propos recueillis par Didier Laurens
Source Panet.fr
Suite : Réaliser un féminisme libertin
Suite 2 :Féminisme libertin
Suite 3: Les quatre vérités
Bonne fête aux mères qui ont eu l’excellente idée de divorcer, lesquelles, depuis ont pris beaucoup d'amants.( et parfois plusieurs en même temps ).
RépondreSupprimerRéponse à N....e
RépondreSupprimerDégager le sens du langage courant des personnes qui ont fait leur scolarité dans une école confessionnelle.
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Religieux : Cet homme pourra-t-il exercer son libre arbitre ?
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Laïque : Cet homme pourra-t-il exercer selon son entendement ?
Où encore, " en toute conscience " ?
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Quand la mythologie et l’éthique se conjuguent pour former un grand corps joyeux.
C’est sous le regard amusé de Dionysos accompagné du rire solaire de Démocrite, qu’au son de la flûte du non-conformiste « dieu Pan », lequel ne voulut jamais sexuellement contraindre Syrinx, que les monothéistes sont pris de panique de savoir toujours de plus en plus nombreuses les femmes qui se sont affranchies du patriarcat.