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Citation
Rappel de l'affaire Mila : l'adolescente, scolarisée en seconde dans un lycée de la région lyonnaise, échange avec ses abonnés le 19 janvier dernier. L'un d'eux se met à l'insulter, mêlant accusations de racisme et homophobie - l'adolescente est lesbienne et affiche le drapeau LGBT sur son profil : "sale française", "sale pute", "sale gouine"... Les menaces prenant un caractère religieux, Mila poste alors sur sa "story" Instagram un message dans lequel elle rejette toutes les religions, et se fait apostropher par des internautes qui l'accusent d'insulter "notre dieu Allah, le seul et l'unique" en lui souhaitant de "brûler en enfer". Ne s'en laissant pas compter, Mila publie une nouvelle vidéo, dans laquelle elle affirme notamment : "Je déteste la religion, (...) le Coran il n'y a que de la haine là-dedans, l'islam c'est de la merde, c'est ce que je pense. (...) Votre religion, c'est de la merde, votre Dieu, je lui mets un doigt dans le trou du cul, merci, au revoir."Ces propos ont valu à l'adolescente une vague de menaces de mort et la divulgation d'une part de ses informations personnelles. Elle a dû renoncer à se rendre au lycée, sa sécurité ne pouvant être assurée.
Source Marianne
Inquisition musulmane
Alors que la pègre islamiste, laquelle, sur les réseaux sociaux, au nom de l’islam injuriait Mila, celle-ci en guise de réponse leur fait savoir ce qu’elle pensait de [ leur islam ] - depuis ces abrutis ne cessent de la harceler, de l’insulter et de la menacer de mort pour avoir critiqué leur religion.
" Elle l'a cherché, elle assume " estime Abdallah Zekrile délégué général du CFCM.
Comment se fait-il quele Procureur de la République n’engage pas de poursuites à l’encontre de cet ignoblepersonnage ?
Incroyable méconnaissance coupable du droit français par la ministre de la justice – sinon quoi d’autre ?
En effet, un tel niveau d’inculture, c’est ahurissant :
interviewée sur Europe 1 ce mercredi 29 janvier sur l'affaire Mila, la garde des Sceaux, sans honneur Nicole Belloubet, a considéré que " L'insulte à la religion, c'est évidemment une atteinte à la liberté de conscience, c'est grave,...".
Entendre cepropos absolument contraire au Droit dans la bouche de la garde des Sceaux, c’est du jamais entenduà ce point de délire, sauf dans la bouche des Savonarole avec ou sans-poil.
Hors, au contraire de la pétrification du langage par la religion que subissent les non-musulmans dans les pays dominés par des musulmans, le blasphème, c’est à dire la quête de nouveau n’est pas interdit, c'est un principe juridique fondamental lequel protège notre pays de toute atteinte à la liberté d’expression.
J’ai suivi de nombreux débats sur les chaînes d’infos etpas mal lu sur des forums de discussions - j’ai pu observerque les participants connus du grand public ou pas s’attardaient beaucoup sur l’expression formulée par Mila " l’islam, c’est de la merde " - en comparaison, j’ai souvent écrit que la religion musulmane est la plus perverse des religions du monothéisme sans épargner de la pensée critique et féministe toutes les autres religions.
...l’on s’attarde disais-je sur " l’islam, c’est de la merde " mais pas sur le plus important dans cette histoire à savoir, avant qu’elle ne réponde aux agressions de la pègre islamiste, laquelle entre autres insultes l’avait traité de " Sale française " - ce qui n’est pas sans rappeler l’insulte royale " Sale juif " occupant tout l’espace sonore dans certains des quartiers de nos villes ou dansles milieux scolaires .
Qu’en pensez-vous, faut-il continuer de prendre les religions au sérieux ou prendre, sans relâche, le temps d’en rire?
CRAB
Se souvenir que lire le coran rend musulman, le comprendre rend athée ou confirme que c’est un bonheur sans égal d’être athée.
Suite
Rien ne change vraiment avec les péroreurs de l’info pour lesquels l’indignation est toujours sélective.
Suite 2
Suite 3
Antisionisme - antisémitisme
Fiche
RépondreSupprimerAvec la loi Pleven de 1972 s'est donc posée la question de savoir si insulter une religion, ses symboles ou ses figures revenait à insulter ses adeptes, ce qui tomberait sous le coup de la loi. Les tribunaux ont clairement répondu par la négative, notamment lors du procès intenté à Charlie Hebdo en 2007, après la publication des caricatures de Mahomet. Dans son jugement du 22 mars 2007, confirmé en appel en 2008, le TGI de Paris avait ainsi affirmé : "En France, société laïque et pluraliste, le respect de toutes les croyances va de pair avec la liberté de critiquer les religions quelles qu’elles soient et avec celle de représenter des sujets ou objets de vénération religieuse ; le blasphème qui outrage la divinité ou la religion, n’y est pas réprimé à la différence de l’injure, dès lors qu’elle constitue une attaque personnelle et directe dirigée contre une personne ou un groupe de personnes en raison de leur appartenance religieuse."
En résumé : comme le confirme la jurisprudence, il est possible, en France, de s'en prendre à un culte, mais interdit d'insulter ses adeptes. N'en déplaise à la garde des Sceaux, "l'insulte à la religion" n'est donc pas, en droit, ni "grave", ni une "atteinte à la liberté de conscience".
Fiche 2
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Extrait de l’étude duCnesco
Difficile de donner tort à de telles lectures, tant les chiffres livrés par l'enquête apparaissent rassurants : 90% des collégiens de troisième et 91% des lycéens de terminale affirment ainsi qu'il est "important, voire très important, qu’ils soient tolérants entre eux, même s’ils n’ont pas les mêmes croyances". Leur connaissance de la principale loi laïque qui s'applique à l'école, celle de 2004, est excellente : 96% des élèves de terminale et 90% de ceux de troisième savent que le port ostensible de signes religieux est interdit aux écoliers et aux enseignants dans les établissements publics.
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Une minorité de jeunes opposés à la laïcité
De plus, au niveau des élèves, si la majorité des jeunes adhère à la laïcité, la grande enquête du Cnesco laisse toutefois apparaître une solide minorité qui se détache du reste de ses camarades : le fait qu'un élève de troisième sur cinq et 14,5% des lycéens de terminale soient d'accord ou tout à fait d'accord avec l'idée que "les responsables religieux doivent avoir plus de pouvoir au sein de la société" n'est pas tout à fait anodin. Quant à ceux qui estiment que "les règles de vie prescrites par la religion sont plus importantes que les lois de la République", ils sont tout de même 24,2% d'accord ou tout à fait d'accord en troisième et 18% en terminale.
RépondreSupprimerGainand Bruno
@GainandB
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Chère
@ZinebElRhazoui
le PR devrait réagir immédiatement au près du PM et demander la démission de la ministre
@NBelloubet
,car il s agit d une faute professionnelle lourde .la sanction doit être immédiate et sans ambiguïté sur sa justification. Un PR tellement mal entouré.
Citer le Tweet
Zineb El Rhazoui
@ZinebElRhazoui
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Il va falloir nous expliquer le projet politique derrière votre déclaration Madame l’inquisitrice en chef @NBelloubet. En tant que garde des sceaux, votre atteinte à notre liberté de conscience est d’une extrême gravité. Vous devriez démissionner. #BelloubetDemission
ENFIN !!! - L'enquête, ouverte à l'encontre de Mila pour « provocation à la haine à l’égard d’un groupe de personnes, à raison de leur appartenance à une race ou une religion déterminée », a été classée sans suite par le parquet de Vienne.
RépondreSupprimerNicole Belloubet, invitée à donner son avis sur cette affaire, a été accusée de vouloir remettre en cause le droit au blasphème (qui n’existe pas en tant que tel). Elle a estimé sur Europe 1 que l’insulte contre une religion était « évidemment une atteinte à la liberté de conscience » avant de reconnaître que son « expression a pu être maladroite » et de réaffirmer qu’on a « le droit de critiquer la religion ». Bref innocente les mains pleines - sa démission s'impose.
RépondreSupprimerRappel - Abdallah Zekri, a estimé dans l’émission Les Vraies Voix sur Sud Radio : « qui sème le vent récolte la tempête ». « Elle l’a cherché, elle assume »
RépondreSupprimerQu’attend le Procureur de la République pour poursuivre cet individu qui par ricochet par ce type d’allégations justifie l’assassinat des journalistes ou dessinateurs de Charlie Hebdo le 7 Janvier 2015 qui ne se privaient pas de blasphémer et dans l’actualité en disant une chose et son contraire donne sa caution à tous ceux des musulmans qui menacent Mila de viol ou de mort ?
Une enquête ouverte pour "menaces de mort"
RépondreSupprimerEn revanche, les investigations se poursuivent concernant les menaces reçues par Mila, après sa vidéo. Le parquet précise que l'enquête pour "menaces de mort", confiée à la section des Recherches de la gendarmerie, compétente en matière de cyber-criminalité, continue "afin d'identifier et de poursuivre les auteurs des menaces graves et réitérées proférées à l'encontre d'une jeune fille mineure".
Dans sa vidéo postée sur Instagram, Mila raconte qu'elle a éconduit un jeune homme de confession musulmane, et qu'il l'a alors insultée avec des propos homophobes. Dans sa vidéo, Mila réplique en qualifiant le Coran de "religion de haine" et en ajoutant "je déteste toutes les religions". Depuis, l'adolescente de 16 ans a reçu de nombreuses menaces de mort et de viol. L'affaire a pris de telles proportions qu'elle a été déscolarisée.
Zineb El Rhazoui a retweeté
RépondreSupprimerVincent Lautard
@L_M_Vin
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#Osezleféminisme n'a pas souhaité se prononcer sur l'affaire #Mila pour l'instant car ça serait "des questions qui sont extrêmement complexes et délicates" selon la porte parole du mouvement. C'est Osez le #féminisme mais pas trop quand même...!
Vincent Lautard
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Osez le féminisme, un féminisme à deux neurones au même titre que l'intersectionnalité ou les racisés sera toujours et toujours aux antipodes du féminisme universel. CRAB
À l’attention de Kabira
RépondreSupprimerNe vous faites pas des films, depuis l’Antiquité, étrangers à la réalité-réelle les idéologues ( ne pas confondre avec des penseurs comme Lucrèce, Ésope, Jean Meslier, Maupertuis, ect... ) ont finis, au fil des siècles par générer, la plus perverse des religions du monothéisme, le coran - et le summum sur fond chrétien d’une culture raciste, Mein kampf .
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Ce qui signifie que Mila à mille fois raison de tenir les propos qu’elle a tenu en guise de réponse à la pègre islamique qui voulait la faire plier.
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Un silence « à gauche » ?
RépondreSupprimerLa directrice de la rédaction de L'Obs, Dominique Nora, a dénoncé dans un long éditorial l'absence de réactions, à « de rares exceptions près », des « voix de gauche ». Charlie Hebdo a également condamné dans une série de caricatures, « l'indifférence de ceux qu'on attendait », à savoir notamment « la gauche, les identitaires, les associations anti-racistes et LGBT ».
Par ailleurs, comme le relève ce jeudi Arrêt sur Images, certains médias rompus aux sujets liés aux discriminations ou au harcèlement, comme Mediapart, Les Inrocks ou Télérama, n'avaient pas encore évoqué « l'affaire Mila ».
Plus d'une semaine après le début de la polémique, les réactions à gauche de l'échiquier politique se sont finalement fait entendre. La cheffe de file des députés PS Valérie Rabault a concédé jeudi un relatif silence de son bord, ce qui « n'est pas une bonne chose », en défendant « la liberté d'expression ».
« Il n'y a pas de malaise », a soutenu le porte-parole du PCF, Ian Brossat, sur CNews, pour qui « il y a une réalité : c'est qu'en France on a le droit de critiquer les religions, il n'y a pas de délit de blasphème ». - Source Le Parisien
Hyper crétin qui n’en manque jamais une, de son vrai nom Cyril Hanouna a lancé avec fermeté que Mila avait eu des "mots inadmissibles". Et d'ajouter : "je ne supporte pas ce genre d'insultes. J'aime pas trop qu'on rigole ou qu'on insulte des religions. Je sais que c'est le droit au blasphème, mais elle ferait mieux de se calmer et rester dans son coin pour que tout rentre dans l'ordre".
RépondreSupprimer.
Comment se fait-il qu’on ne voit jamais sur les plateaux face à ce genre d’illuminé un des humoristes de Charlie Hebdo parfaitement qualifié pour déconstruire les bouffées de délires de ce minable ?
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Aucun pays ne se débarrassera jamais du fanatisme ou des fanatiques religieux sans à l’école enseigner le fait athée en contrepartie du fait religieux.
Ne pas confondre la spiritualité athée avec les philosophies des lumières – l’athéisme, c’est le refus de cesser de penser, puis, en s’appuyant sur l’immanent*1, se livrer à la recherche permanente de l’éthique.
*1- la réalité-réelle et non se référer à ce que racontent les livres.
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Mila va pouvoir reprendre les cours. La jeune lycéenne, qui est la cible de menaces après des propos sur l'islam, a retrouvé un établissement. C'est ce qu'a annoncé le ministre de l'Education nationale, jeudi 6 février. "Nous avons trouvé une solution, avec la famille. Par définition je ne dis pas laquelle, elle est bonne et dans l'intérêt de la jeune fille", a expliqué Jean-Michel Blanquer, sans donner plus de précisions. "La première priorité, a poursuivi le ministre, c'est évidemment la protection et la rescolarisation de cette jeune fille, c'est ce à quoi nous avons travaillé avec la famille depuis le début."
RépondreSupprimerUne "solution" saluée par Richard Malka, l'avocat de la famille de Mila. "Pour la première fois depuis deux semaines, il existe une piste très sérieuse qui paraît envisageable", s'est-il félicité auprès de l'AFP.
Extrait de Radio-Paris ment
RépondreSupprimerBien sûr, Abdallah Zekri, le délégué général du Conseil français du culte musulman (CFCM), qui, poète, a proclamé sur Sud-Radio: "Qui sème le vent récolte la tempête." Et puis ceci, qui sent le sang: "Elle l’a cherché, elle assume." Autrement dit quelque chose qui ressemble à ceci: "Elle aura fait ce qu’il fallait pour se faire égorger et si la chose devait arriver, je ne m’en formaliserais pas!" Je parie sans trop risquer de me tromper que cet homme ne sera pas poursuivi, lui, pour incitation à la haine ou pour provocation au crime.
Michel Onfray
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NAVRANT, cette irresponsabilité des pouvoirs publics est insupportable....
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2ième - Extrait de Radio-Paris ment
RépondreSupprimerBien sûr, Caroline de Haas, qui, rappelons-le, estime que, pour lutter contre les agressions sexuelles dans des quartiers perdus de la République, il n’y a qu’une seule solution, élargir les trottoirs. Elle n’a pas eu un seul mot de soutien pour cette jeune fille menacée de mort, déscolarisée, protégée par la police pour avoir dit qu’elle récusait l’islam qui la récuse elle-même en tant que lesbienne, ce qui, au-delà du langage et de la forme, est tout de même le fond du problème… C’est cette même Caroline de Haas qui, lors des viols commis par des migrants un soir de 31 décembre, avait écrit: "Ceux qui me disent que les agressions sexuelles en Allemagne sont dues à l’arrivée des migrants: allez déverser votre merde raciste ailleurs."
Michel Onfray
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Ne rien attendre de ce féminisme à deux neurones, lequel avec les racisés ou de l’intersectionnalité n’ont jamais rien compris au féminisme universel.
Observatoire de la laïcité
RépondreSupprimerCe n'est pas un observatoire mais un abattoir de la laïcité et de la liberté d'expression.
J'écris souvent que les religions sont des fake news et que la mahométane est la religion la plus perverse du monothéisme, soit, aucune différence sur le fond avec les propos tenus par Mila.
La maladie d’illusions
RépondreSupprimerSoutenus par leurs complices féministes victimistes, racisés ou de l’intersectionnalité, il est parfaitement logique que les marchands d’illusions prospèrent dans nos sociétés aussi longtemps que, sans relâche, l’on s’appesantira sur les religions sans se moquer de la spiritualité religieuse.
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À longueur d’année de nombreux médias diffusent à profusion sur leurs écrans des reportages réalisés un peu partout dans le monde rapportant toutes sortes de croyances, un recensement sans fin, alors qu’il ne s’agit rien de plus que des bouffées de délires balancées comme telles sans prendre la peine de déconstruire ces inepties ou de s’en moquer.
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Les éléments structurants de la domination masculine ou privilèges masculins sont fondés pour l’essentiel sur la peur panique du sexuel dans la société par les pudibonds sans frontière.
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Dans la réalité-réelle, c’est la crainte des sexualités, un crainte notamment hyper-aggravée, quasi pathologique, d'une névrose sans égale observée dans les milieux ou pays dominés par des musulmans ou la religion plus qu’ailleurs sacralise le patriarcat.
Amira, puisque vous insistez : " La grande interdiction ", devrait vous plaire – vous voulez savoir, eh bien figurez-vous que dans Burkhan Khaldun en Mongolie une montagne prétendument sacrée est interdite aux étrangers, aux femmes et aux chiens – vous et vos copines enfoulardées, ce magnifique pays devrait vous plaire, non ?
RépondreSupprimerAffaire Mila
RépondreSupprimerhttp://crab.painter.free.fr/textes/2.%20Affaire_Mila_E_Badinter.pdf
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ABDICATION
RépondreSupprimerJe lis ça et là " Mila n'aurait pas dû donner l'adresse de son nouveau lycée ", c’est inouï, je croîs cauchemarder de lire autant d'absurdités pour condamner sa soit-disant "maladresse", je n'en reviens pas ;
mis çà part les abrutis d'islamistes dont-on ne peut rien tirer de positif dont l’ignorance de la pulsion de vie est consubstantiel à leur religion, les autres, les bien-pensants, les islamo-gauchistes, les dé-coloniaux et leurs apparentés du nov-féminisme se rendent-ils vraiment compte ce que signifie " vivre bunkérisé " ;
alors que ceux des élèves de son lycée qui l'on condamnée n’ont pas été éloignés ailleurs, quand pour ses propos assassins le représentant Adballah Zekri du CFCM n’est toujours pas, à ce jour, poursuivi par le Procureur de la république ni la plupart de ceux qui l'ont menacée sur les réseaux sociaux ;
pour que le monde à l'envers cesse, faut-il que la guerre civile entamée contre notre culture par les islamistes se poursuive encore plus tragiquement ?
Le père de Mila a mille fois raison de fustiger l’"hypocrisie" des institutions après une mise à l’écart scolaire.
À titre personnel j’entends que la forme dite vulgaire employée par Mila n’est rien pour parler du religion qui est une insulte à l’intelligence, sans humanité...
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NOTA
"En réalité, Mila s’est adressée à un garçon […] en lui demandant s’il était toujours dans ce lycée, sans même mentionner qu’elle y était elle-même scolarisée. Sur ce fondement-là, il a été décidé qu’elle avait été imprudente et qu’elle devait être exclue", a indiqué Richard Malka, son avocat.
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"Vous pouvez imaginer comment elle va, sa vie a basculé, elle a 17 ans, elle vit comme les gens de Charlie Hebdo maintenant, bunkerisée, c’est insupportable!", a déclaré Me Malka, également avocat de Charlie Hebdo, en marge du procès des attentats de janvier 2015.
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Sur Twitter, Mila a partagé des captures d’écran des menaces de mort reçues ces dernières semaines, certaines évoquant l’assassinat de Samuel Paty. "Il semble qu’il y ait une nouvelle mode qui est de menacer de "faire une Samuel Paty", a commenté son avocat Me Richard Malka.