IMMIGRATION NON-CHOISIE

Les Piérides

La grandeur, la puissance d’une nation se mesure à son niveau de culture.

Citation : Ô race infortunée des hommes, dès lors qu’elle attribua aux dieux de telles actions et qu’elle leur imputa d’âpres colères ! Quels grands glissements ils ont alors fait naître pour eux, quelles profondes blessures pour nous, quelles larmes pour nos propres descendants !

LUCRÈCE, de rerum natura, page 417 - Imprimerie Nationale éditions

Les escrocs du multiculturalisme

La naïve notion de tolérance est un gadget pour croyants fanatisés puisque l'humanisme oule principe démocratique a pour objet de faire de telle sorte que l'Homme s'empêche, notamment : l’interdiction de battre une femme, d’exciser les fillettes, de marier de force des jeunes filles, de violer, de tuer ou d’emprisonner ou encore de censurer celui qui pense autrement, de voler, de délit d'initié, etc. etc.

Qui aime ressembler aux Piérides n’est pas français

Ne serait-ce qu’un instant en réponse à ceux qui estiment que toutes les cultures se valent, vous imaginez que je vais faire ami-ami avec des populations qui ne supportent pas la liberté d’expression, la quête de nouveau ( le blasphème ), pratiquent l'excision, le mariage forcé, la lapidation ou le viol en groupe des femmes adultères - etc. etc.

La notion de vivre ensemble est une escroquerie ;

en réalité le " vivre ensemble " relève plus de la démarche, sûres d’elles, d’agressives Piérides ou de religieux fanatiques ou encore de politiciens clientélistes-carriéristes,le vivre ensemble c'est la loi du plus fort, les animaux vivent ensemble dans la jungle.

On ne peut construire la société avec des gens non-sécularisés dont le texte '' sacré '' aux antipodes de la culture française ou universelle des droits de l’Homme parle des femmes à la troisième personne.

L’immigration choisie

Dans notre pays, nul ne retient ceux qui n’aiment pas la culture française, ils sont libres de partir s’installer sous d’autres cieux.

L’étranger qui aime la culture française est le bienvenu, c’est ce qu’on appelle l’immigration choisie.

La mémoire des expériences passées

On peut toujours meraconter tout ce qu'on veut sur le multiculturalisme, j'ai connu une autre France, la vraie France, où la liberté et la joie de vivre était dans tous les esprits ;

une culture française entièrement libérée de la main-mise de la religion sur la société, donc presque globalement, un état d’esprit épris de liberté totalement incompatible avec les anachroniques idéologies ou moralines musulmanes ;

en deçà des anachronismes culturels importés majoritairement de pays dominés par des oligarchies musulmanes responsables, dans notre pays, d’un séparatisme dû au communautarisme, il faut faut admettre que l’impéritie de l’État, ce qui n’a rien arrangé, s’est révélée dans l’absence de contrôle de l’immigration durant ces dernières cinquante années de chômage massif accrût ;

une immigration pour l’essentiel organisée par les immigrés eux-mêmes par le biaisdu regroupement familial ;

une pause s’impose, c'est à dire mettre un terme à l'immigration sur une durée des 150 années à venir, et pour y parvenir la première mesure à prendre, faut inlassablement le rappeler, c’est l’abrogation du regroupement familial.

Impensable, en toute conscience, de ne rien savoir du tout de la religion dont-on parle, mais, ICI, rien que pour vous : TOUT ce que vous avez toujours voulu savoir sur le paradis d’Allah

Suite

https://laicite-moderne.blogspot.com/2017/08/le-paradis-dallah.html

Le Paradis d’Allah – Réédition

CRAB

Mythologie – les Piérides

Filles de Piérus roi de Macédoine, étaient neuf sœurs qui excellaient dans la musique et dans la poésie, fières de leur nombre et de leurs talents, elles osèrent aller chercher les neuf muses sur le mont Parnasse, pour leur faire un défi, et disputer avec elles du prix de la voix : le combat fut accepté, et les nymphes de la contrée furent choisies pour arbitres. Celles-ci après avoir entendu chanter les deux parties, prononcèrent toutes de concert en faveur des déesses du Parnasse. Les Piérides, piquées de ce jugement, dirent aux muses beaucoup d'injures, et voulurent même les frapper lorsqu'Apollon les métamorphosa en pies, leur laissant toujours la même envie de parler. Cette fable est fondée sur ce que les filles de Piérus se croyant les plus habiles chanteuses du monde, osèrent prendre le nom de muses.

On donne aussi aux muses le surnom de Piérides, à cause du mont Piérius en Thessalie qui leur était consacré. (D.J.)

Source – Encyclopédie de Diderot