DÉMOGRAPHIE ET INQUISITION MUSULMANE
C’est parfaitement prédictible, sans abroger le regroupement familial, il sera impossible de reprendre les territoires perdus de la république.
Depuis Hara-kiri, Je suis Charlie pour le meilleur et pour le pire.
Procès des attentats islamiques contre les dessinateurs ou humoristes de Charlie Hebdo, le meurtre de la policière municipale Clarissa Jean-Philippe vers 8h du matin le 8 janvier à Montrouge (Hauts-de-Seine). La prise d’otages meurtrière menée le 9 janvier entre 13h05 et 17h10 dans le magasin Hyper Cacher de la porte de Vincennes, à l’est de Paris.
LE POUVOIR DE NUIRE
TROIS CAPTURES D’ÉCRAN PUBLIÉES DANS CHARLIE HEBDO, CETTE SEMAINE
DIGNITÉ DES FEMMES
Flagornerie politicienne
Aucune politique ne sera crédible sans mettre un terme à l’immigration musulmane et au regroupement familial pendant au moins 150 ans, sinon plus longtemps encore....trop de jeunes musulmans, pourtant nés en France, toujours, d’une année sur l’autre,plus nombreux,considèrent que la sharia est au-dessus de la loi commune.
Notre pays n’est plus qu’une immense lézarde
Citation :« On a été tétanisé par l’idée qu’on pouvait être intolérant, et du coup nous avons toléré l’intolérable ! »Élisabeth Badinter
En tous cas, ni cette Grande Dame ni moi ne sommes responsables de l’installation, dans notre pays,de la plus odieuse desidéologiesou d’une culture religieuse la plus toxique que certains plus nombreux à gauche qu’à droite n’ont eu de cesse en quarante ansde ne pointnommer.
Promouvoir la liberté d’expression
La vérité consiste dans l’Éducation Nationale à enseigner les choses de la nature de la réalité-réelle - soitune mission impossible tant que ne seront pas chassés rue de Grenelle tous les platoniciens ou les aristotéliciens dans l’objectifessentiel de permettre, à l’école,l’enseignement duFait athée en contrepartie du Fait religieux.
Nantes, ville ouverte
Les joies du multiculturalisme ne sont pas des chansons de corps de garde
L'insécurité est la réalité-réelle qui a fait en 40 ans de Nantes une ville paisible à présent une ville devenue invivable.
L’exécrable repentirde l’âge
“ Qu'est-ce que l'amour ? C'est le comble de l'union de la folie et de la sagesse".Edgar Morin
Plus réaliste, l'amour est une ruse de la nature pour perpétuer l'espèce - certes, c'est moins poétique que les quatre saisons quand la nature ne concède que deux saisons.
Septembre 2020 : Plan-plan raplapla
Dû à cause de la période de confinement, pour corriger les conséquencessociale, culturelle et économique, l’inversement réciproque ou pour le dire autrement, ce qu’il a de nouveau dans ce plan-plan du gouvernement Castex émanation du clair obscur macronien, c’est qu’il n’y a rien de nouveau.
L’Envers de L’Endroit
Une ligne a été franchie, certes, mais n’est-ce pas ici l’arroseuse arrosée par des gens qui la valent bien, se souvient-elle du nombre de lignes qu’elle a allègrement franchie ?
SUITE
http://democrite-epicure.hautetfort.com/archive/2020/08/30/en-famille-6260160.html
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Caroline_de_Haas, Caroline_Fourest, Changelejeu, Chapelle-Pajol, Danièle_Obono, Élisabeth_Badinter, Rokhaya_Diallo, Virginie_Despentes,5e_république, Adama_Traoré, Albert_Camus, Charlie_hebdo, Edwy_Plenel, inquisition_musulmane, ouistiti-moustachu,
Au micro de LCI, le philosophe s’est inquiété de la liberté de la presse, rappelant que le texte publié par Valeurs actuelles sur la députée Danièle Obono était “une fiction”.
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Michel Onfray qui a tenu à défendre notre hebdomadaire sur LCI, après la fiction publiée dans nos pages imaginant la députée LFI Danièle Obono au temps de l’esclavage. Alors que la journaliste Elisabeth Martichoux lui demandait si la republication des caricatures de Mahomet par Charlie Hebdo n’était pas le symbole de la liberté d’expression, le philosophe a embrayé sur la polémique Obono : « Elle est aussi dans la possibilité de faire de l’ironie dans une fiction de Valeurs actuelles ».
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« Je pense que c’est une fiction et qu’on a le droit à la fiction. Moi, je défends la liberté de la presse, pas seulement celle de la gauche », a fait valoir Michel Onfray sur le plateau de LCI, avant de faire remarquer que lui aussi est souvent critiqué et caricaturé dans les médias. « Moi, j’ai pas porté plainte, j’ai pas eu un tweet du président de la République […]. Je ne suis pas une pleureuse », a-t-il expliqué, ajoutant : « Il faut prendre des coups quand on donne des coups, c’est le jeu démocratique ».
« On n’est plus au pays de Voltaire »
Et le philosophe d’insister, en dressant un triste portrait de l’état de la liberté d’expression en France : « Je vous rappelle que ce texte est une fiction. On ne sait plus aujourd’hui faire la part de la fiction, de l’humour, de l’ironie, on n’est plus au pays de Voltaire, ni au pays de Rabelais. Il y a des choses qu’on ne peut plus dire aujourd’hui parce qu’effectivement immédiatement vous êtes dans l’idéologie. On a le droit de critiquer, de railler », a-t-il développé. Michel Onfray a conclu sur le sujet en critiquant ceux qui se sont insurgés contre ce texte : « Tous ces gens, comme Rokhaya Diallo, qui nous disent qu’ils ne sont que des descendants d’esclaves : le problème ce n’est pas de savoir ce qu’ils ont fait, ce qu’ils ont dit, ils sont des victimes du simple fait qu’ils sont des descendants d’esclaves. Tous ces gens veulent bien le dire eux, mais ne veulent pas que d’autres le disent ».
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« Qu’Allah maudisse Charlie »
RépondreSupprimer« C’est quoi cette histoire ??? Ils insultent notre prophète, se moquent de lui, offensent les musulmans du monde entier gratuitement et nous demandent d’accepter ça au nom de ‘valeurs’ qu’ils ne respectent même pas ?! », s’est insurgé le prédicateur salafiste. « Les acteurs de la communauté musulmane devraient marquer la ligne rouge à ne pas franchir. Elle est là ! Personne ne peut offenser notre prophète. Brûlez-nous vivants, jetez-nous en taule 20 ans, ça ne changera rien », a-t-il poursuivi, avant de lâcher : « Qu’Allah maudisse Charlie et enflamme leurs tombes à la chaleur du soleil ». Dans un autre message du même acabit, Idriss Sihamedi révèle qu’il « prie souvent » avec cette phrase : « Puisse le Seigneur augmenter à 2 000 degrés les flammes de leurs tombes [celles des morts de Charlie Hebdo, NDLR] ».
PROCÈS ATTENTATS
RépondreSupprimerLu dans la presse : « … Coco a raconté comment elle avait quitté la salle de rédaction à 11h20 pour aller fumer une cigarette avec Angélique avant d’aller chercher sa fille à la crèche. Les deux Kouachi surgissent au moment où elles sortent de la cage d’escalier, ils braquent leur arme sur Coco, qu’ils ont reconnue et qu’ils prennent en otage afin qu’elle les mène à Charb : « On veut Charlie Hebdo, on veut Charb ! » Ils menacent Angélique : « Toi tu restes là. » Coco raconte cette ascension vers les locaux de Charlie comme les étapes d’une destruction personnelle qui va entraîner une destruction collective… »