L’enlèvement des Sabines - 1574-8
Giambologna
Qui refuse la mixité culturelle ?
S'il y a replis identitaires, virant au communautarisme, comme il se doit de '' bonne âmes '' ne manqueront pas de vous faire l'analyse que c'est un échec de l'intégration
Quelques faits révélateurs de populations pour lesquels le débat d'idées n'est qu'une invention des démocrates, des laïcs et de se livrer dans les villes à des actes qui relèvent des valeurs guerrières masculines
Populations majoritairement dominées par la volonté idéologique archaïque d'asseoir la suprématie de l'homme sur la femme et de tenter d'installer dans notre pays '' un sens de l'honneur '' clanique et moyenâgeux
Cessons de le taire ?
Une partie de l’immigration extra-européenne est à la source des tensions qui font l’actualité. Revendications de nature identitaires pour l'essentiel, refus de s'adapter ou de respecter les valeurs républicaines
Les affrontements urbains, qui ne font pas toujours la une de nos J T, malgré la gravités des situations constatées résultent d’une part d'un manque de lucidité et d'autre part d'une politique impensée depuis des décennies en matière de régulation des migrants qui manifestement pour la majorité d'entre eux refusent tout métissage des cultures
L'exemple le plus significatif c'est par exemple l'interdiction de l'apostasie
Profitez des campagnes électorales en cours pour exiger des candidats qu'ils prennent une position claire sur tous ce qui peut renforcer la cohésion, l'unité de tous les citoyens établis légalement sur notre territoire et de prendre la décision de pratiquement fermer les frontières à l'entrée de migrants durant un certains nombre d'années
Cit/, d'après des articles de presse :
Scènes de guérilla à Bourtzwiller.
D’après les premiers éléments recueillis, l’affaire a démarré vendredi soir, à la sortie d’un mariage qui venait de se dérouler à la mosquée Koba rue Pierre- Brossolette.
Un différend serait né entre un groupe de personnes d’origine tchétchène et un groupe de jeunes de la communauté maghrébine.
C’est hier soir que les choses ont dégénéré entre les deux groupes. La présence d’armes du côté tchétchène a d’autant plus motivé l’intervention d’importantes forces de police et de gendarmerie pour mettre fin à l’affrontement. 40 policiers de Mulhouse et plusieurs dizaines venus de Strasbourg ainsi que vingt gendarmes ont été mobilisés.
Les sapeurs-pompiers sont intervenus pour prendre en charge deux jeunes hommes de 18 et 20 ans, blessés par arme blanche. Ils les ont conduits au centre hospitalier.
La rue Pierre-Brossolette a été le théâtre d’une grande confusion. A un moment, le groupe de Tchétchènes est venu se réfugier dans la cour de la mosquée. Les forces de l’ordre sont intervenues pour les déloger, mais ils sont parvenus à s’enfuir. Une course poursuite s’est alors engagée dont l’issue n’était pas connue à l’heure où nous imprimons. Des coups de feu ont été tirés, les gaz lacrymogènes ont été lancés.
Ce qui est certain en revanche, c’est que les forces de l’ordre ont été la cible de jets de pierres de la part de jeunes du quartier. Quatre policiers et un gendarme ont ainsi été blessés par les éclats de verre consécutifs aux jets des projectiles. Hier à 22 h 45, au moins une personne porteuse d’un fusil avait été arrêtée par la police. Mais l’on parlait de quatre arrestations au total, certaines étant en cours.
Durant toute la soirée, un hélicoptère de la gendarmerie a survolé le secteur de Mulhouse. Les services de police et de gendarmerie ont été mobilisés toute la nuit. Le maire de Mulhouse, Jean Rottner, était sur les lieux une grande partie de la soirée.
On notera que ces événements particulièrement violents se sont déroulés en présence de très nombreux habitants du quartier. Le calme est revenu dans la nuit, un escadron de gendarmes mobiles ayant pris position.
Source : DNA
Belleville en 2010
Dans ce quartier, les habitants, majoritairement d’origine asiatiques et d’habitude plutôt calmes, protestaient avec véhémence contre les violences à répétitions dont ils sont la cible…
Le multiculturalisme, c’est républicain...avec ses modes d'expression hors droits et devoirs qui incombent à tous les citoyens de notre pays ?
Non c’est rigolo...surtout ne changeons rien, ouvrons en grand nos frontières et que chacun puisse s'installer dans son coin et faire le '' coup de poing '' en bons mâles dominateurs quand bon lui semble
En Avignon
Le 6 septembre 2009, dans une petite commune de l’agglomération, une bagarre « inter-communautaire » (comme on dit pudiquement dans les médias) a entraîné la mort d’un jeune homme et deux autres ont été grièvement blessés au couteau et à la batte de base-ball.
Simple fait divers, me dira-t-on. Peut-être, mais extraordinairement révélateur dans sa banalité même
Simple fait divers, me dira-t-on. Peut-être, mais extraordinairement révélateur dans sa banalité même
L’agence Reuters, avait révèlé que cette bagarre – qui a tout de même impliqué une cinquantaine de « jeunes » – mettait aux prises des ressortissants des communautés maghrébine et turque.
11e arrondissement
Le 12 juin 1968, à Paris, à l'angle avec la rue de l'orillon, au café Kairouan aujourd'hui disparu, une dispute éclate entre deux clients; ils en viennent aux mains et la querelle devient bagarre de rue inter-communautaire entre Juifs et Arabes; Cinquante magasins seront saccagés dans le quartier et une synagogue objet d'une tentative d'incendie
Quick
En 2010, Michel avait été convoqué en mai par sa hiérarchie pour son refus d'adopter pour son restaurant la norme Halal
Sollicitée par L'Express, la DRH de Quick, Christiane Dutray, dit ne pas "comprendre" son ex-collègue. D'après elle, "un employé qui refuserait de travailler dans un restaurant dit "halal", pour quelque raison que ce soit, se verrait aussitôt proposer une mutation dans un autre établissement".
Un comble, ce n'est pas un problème de marché, de l'offre et de la demande, mais de s'opposer à la mise à mort barbare marquée par le refus de l’étourdissement préalable au nom d'une croyance moyenâgeuse des animaux - quand un des premiers devoirs d'un État démocratique serait justement d'interdire l'abattage rituel
Perpignan
En 2005. Un homme d'origine marocaine, âgé de 43 ans, a été tué par arme à feu, [ au lieu de laisser agir la police ] prétexte pour des groupes de jeunes maghrébins particulièrement remontés du quartier Saint Mathieu, lieu du meurtre vers le quartier Saint Jacques, en cassant les vitrines et brûlant poubelles et voitures
Mais aussi révélateur, une fois de plus, dans cette ville d'une guerre entre gitans et arabes
Cit/ :
Lors des face à face avec la police, de nombreux maghrébins reprochaient aux forces de l'ordre de n'avoir pas désarmé les gitans terrés depuis une semaine dans leur secteur du quartier Saint-Jacques. " Nous avons prouvé samedi que nous pouvions marcher dans le calme, et on les laisse nous tuer " AFP
" Rien ne permet pour le moment de dire si le tireur était gitan, arabe ou européen ", avaient au moment des faits, précisé les autorités
Je pourrais multiplier les exemples des tensions [ le joli mot pour désigner l'inacceptable ] inter-communautaire : Vigneux-sur-Seine, Vitry-le-François où des associations musulmanes veulent ou tentent périodiquement d'imposer leurs lois et surtout la ségrégation sans que la pratique de ces discriminations en outre dans certains cas carrément sexo-séparatistes inquiète le moins du monde '' les spécialistes '' de l'antiracisme, comme la Halde...
Cet article n'a pas pour fonction de faire peur à qui que ce soit mais réclame la lucidité de la part des élus pour qu'ils prennent les dispositions qui s'imposent d'une part pour momentanément interrompre au maximum du possible la venue d'étranger désireux de s'installer dans notre pays et de se préoccuper
-->de la mise en œuvre de politiques à la fois '' éducatives et répressives '', surtout valorisants la mixité-culturelle, pour rétablir le Droit républicain partout sur l'ensemble de notre pays Profitons des campagnes électorales pour y insérer dans les débats cette préoccupation républicaine
Suite sur la page :
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire