Avec un peu de retard, entre dans mon Panthéon des curiosités
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Hier matin ( 7 Août), au cours du JT, sur BFMTV, « notre » sempiternel Emmanuel Lechypre « con spirito » explique que sans, à partir de 2011, le départ des riches à l'étranger la France compterait trois points de croissance de plusBref, un « animal » aussi doué que la grande majorité très médiatisée des économistes pro-européens - force est de constater, une fois de plus, que sa tremendométhode de « raisonnement » ne tient pas compte des étrangers qui s'installent ou investissent dans notre pays - plus grave, dans untempo frettoloso, comme à son accoutumée,più mossoque jamais il escamote l'essentiel de ce qui doit-être mis en cause : ce n'est pas à elle seule la fiscalité française depuis 2011, aggravée dès 2012, ( aussi contestable fut-elle), mais plutôt l'absence d'une fiscalité unique pour tous le États européens
Mais « nos économistes » religioso de plateaux, persistent dans une idée de l'Europe dont la majorité des françaises et des français ne veulent pas, ce qui explique qu'un électeur sur deux au minimum, ( dans la mesure où les bulletins blancs ne sont pas comptabilisés ), s'abstient de voter
Crab – 8 Août 2015
Suites :
http://laicite-moderne.blogspot.fr/2013/09/natalite.html
ou sur
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2014/11/14/la-passion-selon-anne-cecile-mailfert-5489930.html
L’épidémie de coronavirus nous rappelle que l’histoire est tragique. Ce n’est pas «un ultimatum de la nature» comme l’a dit Nicolas Hulot. Ce n’est en rien la conséquence du réchauffement climatique. Cette pandémie est un aspect -pas des plus plaisants- d’une mondialisation laissée à elle-même. Imprévisible par sa soudaineté, sa brutalité, le caractère quasi universel de son expansion, cette pandémie révèle notre incapacité à faire face en l’absence de vaccin. J’ajoute qu’elle met en lumière les dépendances que la France, parmi d’autres, a laissé se créer en transférant à l’autre bout du monde la moitié de son industrie, notamment pharmaceutique et médicale. Jean-Pierre CHEVÈNEMENT .
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Jean-Pierre CHEVÈNEMENT est une des trop peu nombreuses figure de la politique intègre et d'une honnêteté intellectuelle sans égal.