mardi 29 janvier 2019

La passion selon les gilets jaunes


Invité samedi sur le plateau de On n’est pas couché :
« Dès le premier acte, j'ai senti quelque chose de mortifère», a déclaré Bernard-Henri Lévy qualifiant les défenseurs de la manifestation de « populistes qui sont les profiteurs du désespoir, de la misère, pour casser la République et s'en prendre aux institutions». Bernard-Henri Lévy

Un philosophe de pouvoir
Selon ce personnage philosophe de pouvoir, déclarer que dans cette république jacobine où la plupart des gens se sentent mal représentés et pensent la remplacer par une république une république girondine nettement plus démocratique, c’est pour cet oiseau de mauvaises augures, être animé de « passions tristes, mortifères, nihilistes »

" Je sais ce que c'est la différence entre un mouvement social qui est porté par une espérance, qui est porté par une colère vraie, par des vrais projets, et une colère qui ne veut rien d'autre que le rien, que la haine et que la destruction" - a-t-il affirmé

Monsieur BHL, vous ce grand philosophe sans avoir jamais commencé de penser, je vous suggère un petit texte qui me semble-t-il reflète une des principales exigencesdes Gilets jaunes,suite :
Qui sait réformer n’est pas macronien
http://laicite-moderne.blogspot.com/2018/12/qui-sait-reformer-nest-pas-macronien.html


Gilets jaunes – suite 2

http://laicite-moderne.blogspot.com/2018/12/gilets-jaunes-suite-2.html





1 commentaire:

  1. Devenir djihadistes, c’est choisir délibérément une autre nationalité
    Ahurissant, le gouvernement a décidé de rapatrier des djihadistes pour les juger dans notre pays.

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