James Ensor - l’intrigue
LE TEMPS DES BOUFFÉES DÉLIRANTES
Des généraux à la retraite dénoncent scrupuleusement dans une lettre ouverte, publiée le 21/04/2021, « le délitement » de la France.
Cette pertinente analyse déclenche, ça et là, pour toute réponse, quelques bouffées délirantes, notamment tenues, " en même temps ", par le couple Mélenchon-Parly.
LE FANTASME DU GAUCHISME CULTUREL
L’espérance nourrit des chimères, du fascisme l’extrême gauche en rêve la nuit, et la vie d’une part et plus particulièrement la vie politique s’écoule sans que du fascisme ils n’en voient jamais rien advenir.
Depuis plus de vingt ans le gauchisme culturel, une partie du patronat qui a besoin d’une main d’œuvre sous-payée, plus récemment les tenants de la Cancel culture, plus que jamais soutenus par des politicards carriéristes dont le passe-temps favori consiste, jour après jour, à nier que l’installation d'une inquisition musulmane dans les quartiers de nos villes défigure notre pays - à présent à la lecture de l’appel des généraux ils sont, inévitablement, parmi les premiers à brailler à la sédition, c’est tellement plus commode que d’affronter et nommer correctement les maux que supportent de moins en moins nos compatriotes de culture française.
CRABL’APPEL DU 21 AVRIL
Monsieur
le Président,
Mesdames, Messieurs du gouvernement,
Mesdames,
Messieurs les parlementaires,
L’heure est grave, la France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent. Nous qui, même à la retraite, restons des soldats de France, ne pouvons, dans les circonstances actuelles, demeurer indifférents au sort de notre beau pays.
Nos drapeaux tricolores ne sont pas simplement un morceau d’étoffe, ils symbolisent la tradition, à travers les âges, de ceux qui, quelles que soient leurs couleurs de peau ou leurs confessions, ont servi la France et ont donné leur vie pour elle. Sur ces drapeaux, nous trouvons en lettres d’or les mots « Honneur et Patrie ». Or, notre honneur aujourd’hui tient dans la dénonciation du délitement qui frappe notre patrie.
– Délitement qui, à travers un certain antiracisme, s’affiche dans un seul but : créer sur notre sol un mal-être, voire une haine entre les communautés. Aujourd’hui, certains parlent de racialisme, d’indigénisme et de théories décoloniales, mais à travers ces termes c’est la guerre raciale que veulent ces partisans haineux et fanatiques. Ils méprisent notre pays, ses traditions, sa culture, et veulent le voir se dissoudre en lui arrachant son passé et son histoire. Ainsi s’en prennent-ils, par le biais de statues, à d’anciennes gloires militaires et civiles en analysant des propos vieux de plusieurs siècles.
– Délitement qui, avec l’islamisme et les hordes de banlieue, entraîne le détachement de multiples parcelles de la nation pour les transformer en territoires soumis à des dogmes contraires à notre constitution. Or, chaque Français, quelle que soit sa croyance ou sa non-croyance, est partout chez lui dans l’Hexagone ; il ne peut et ne doit exister aucune ville, aucun quartier où les lois de la République ne s’appliquent pas.
– Délitement, car la haine prend le pas sur la fraternité lors de manifestations où le pouvoir utilise les forces de l’ordre comme agents supplétifs et boucs émissaires face à des Français en gilets jaunes exprimant leurs désespoirs. Ceci alors que des individus infiltrés et encagoulés saccagent des commerces et menacent ces mêmes forces de l’ordre. Pourtant, ces dernières ne font qu’appliquer les directives, parfois contradictoires, données par vous, gouvernants.
Les périls montent, la violence s’accroît de jour en jour. Qui aurait prédit il y a dix ans qu’un professeur serait un jour décapité à la sortie de son collège ? Or, nous, serviteurs de la Nation, qui avons toujours été prêts à mettre notre peau au bout de notre engagement – comme l’exigeait notre état militaire, ne pouvons être devant de tels agissements des spectateurs passifs.
Aussi, ceux qui dirigent notre pays doivent impérativement trouver le courage nécessaire à l’éradication de ces dangers. Pour cela, il suffit souvent d’appliquer sans faiblesse des lois qui existent déjà. N’oubliez pas que, comme nous, une grande majorité de nos concitoyens est excédée par vos louvoiements et vos silences coupables.
Comme le disait le cardinal Mercier, primat de Belgique : « Quand la prudence est partout, le courage n’est nulle part. » Alors, Mesdames, Messieurs, assez d’atermoiements, l’heure est grave, le travail est colossal ; ne perdez pas de temps et sachez que nous sommes disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation.
Par contre, si rien n’est entrepris, le laxisme continuera à se répandre inexorablement dans la société, provoquant au final une explosion et l’intervention de nos camarades d’active dans une mission périlleuse de protection de nos valeurs civilisationnelles et de sauvegarde de nos compatriotes sur le territoire national.
On le voit, il n’est plus temps de tergiverser, sinon, demain la guerre civile mettra un terme à ce chaos croissant, et les morts, dont vous porterez la responsabilité, se compteront par milliers.
Les généraux signataires :
Général de Corps d’Armée (ER) Christian PIQUEMAL (Légion Étrangère), général de Corps d’Armée (2S) Gilles BARRIE (Infanterie), général de Division (2S) François GAUBERT ancien Gouverneur militaire de Lille, général de Division (2S) Emmanuel de RICHOUFFTZ (Infanterie), général de Division (2S) Michel JOSLIN DE NORAY (Troupes de Marine), général de Brigade (2S) André COUSTOU (Infanterie), général de Brigade (2S) Philippe DESROUSSEAUX de MEDRANO (Train), général de Brigade Aérienne (2S) Antoine MARTINEZ (Armée de l’air), général de Brigade Aérienne (2S) Daniel GROSMAIRE (Armée de l’air), général de Brigade (2S) Robert JEANNEROD (Cavalerie), général de Brigade (2S) Pierre Dominique AIGUEPERSE (Infanterie), général de Brigade (2S) Roland DUBOIS (Transmissions), général de Brigade (2S) Dominique DELAWARDE (Infanterie), général de Brigade (2S) Jean Claude GROLIER (Artillerie), général de Brigade (2S) Norbert de CACQUERAY (Direction Générale de l’Armement), général de Brigade (2S) Roger PRIGENT (ALAT), général de Brigade (2S) Alfred LEBRETON (CAT), médecin Général (2S) Guy DURAND (Service de Santé des Armées), contre-amiral (2S) Gérard BALASTRE (Marine Nationale).
Les
contributeurs de toutes origines qui ont contribué à construire le
génie français avaient tous un point commun, ils venaient s'installer
dans notre pays parce qu'ils aimaient la culture française et les mœurs
de la France .
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L'étranger qui aime la culture française et les
mœurs de la France est le bienvenu - que ceux qui n'aiment pas notre
pays fassent preuve de cohérence en allant s'installer dans des pays à
l'idéologie proche de leurs idéaux hyper-phallocrates et mortifères,
nulle personne ou institution ne les en empêche...ils sont libres de
partir sous d'autres cieux.
DEVOIR DE RÉSERVE
Le
Général De Gaulle ne s’était pas privé de donner son opinion sur l’état
de l’armée française avant la guerre, puis sur le gouvernement de Vichy
; pire, de judicieusement appeler à continuer le combat, donc de
s’insurger contre le gouvernement de la France dirigé par Pétain.
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Devons-nous oublier que l’armée est régulièrement mobilisée pour assurer la paix dans certains centres de nos villes ;
pourquoi ne pas déployer les militaires dans les quartiers dits ‘’ perdus de la république ‘’ ?
Est-ce
si difficile de comprendre qu'un déploiement dissuasif de l’armée
dans les quartiers ‘’ perdus de...’’ aurait pour objet de
permettre à la police d’investiguer plus sereinement, contre le
séparatisme musulman et les trafiquants.... ?
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RépondreSupprimerL’État de Droit, même sous contrôle judiciaire, un certains temps, protège à sa sortie de prison un ennemi de la France ( djihadiste islamiste ), ce serait à mourir de rire si ce n’était tragique-dramatique.
RépondreSupprimerOu cet islamiste est expulsable, sinon c’est la prison à vie.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerDans la plupart des médias
RépondreSupprimerC'est le parti pris d’idéologues de prétendre lire autre chose que ce qui est dit, ça évite de penser ou de débattre sur le fond en faisant remonter à la surface un imaginaire fond *1.
*1- '' entre les lignes ''.
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Dénoncer le séparatisme nourrice de l'inquisition musulmane, ce n'est pas pousser au séparatisme, mais appelez à prendre les décisions qui s'impose en matière essentiellement d'immigration musulmane, de ne plus laisser la rédaction des programmes scolaires exclusivement aux mains des platoniciens...de rappeler que sans intelligence il n'y a pas de travail manuel de qualité ( déconstruire l'idéologie Jacques Lang ), etc....
Élections : 52 % D’abstentionnistes, j’en étais....
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Des militaires, 70% de nos compatriotes partagent l’analyse et 58 % font mieux que partager leur vision de l'état de délitement de la France, ils les SOUTIENNENT, sont-ils des imbéciles ?
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Admettre, comme aux centres de nos villes, que le déploiement de l’armée dans les quartiers dits perdus par la république aurait pour objet de permettre à la police d’enquêter plus sereinement ''en même temps" contre le séparatisme musulman et les trafiquants?
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L'urgence : la main-mise sur les quartiers par les trafiquants de drogues va de pair avec l’islamisation ; pour couper les ressources des trafiquants, il suffit de taxer d’une amende de 2500 euros les consommateurs, du coup fin des trafics, donc abaissement de l’islamisation.
"Pour la survie de notre pays" : Valeurs Actuelles publie une nouvelle tribune de militaires en activité.
RépondreSupprimerMonsieur le Président de la République,
Mesdames et Messieurs les ministres, parlementaires, officiers généraux, en vos grades et qualités,
On ne chante plus le septième couplet de la Marseillaise, dit « couplet des enfants ». Il est pourtant riche d’enseignements. Laissons-lui le soin de nous les prodiguer :et la trace de leurs vertus. Bien moins jaloux de leur survivre que de partager leur cercueil, nous aurons le sublime orgueil de les venger ou de les suivre »
Nos aînés, ce sont des combattants qui ont mérité qu’on les respecte. Ce sont par exemple les vieux soldats dont vous avez piétiné l’honneur ces dernières semaines. Ce sont ces milliers de serviteurs de la France, signataires d’une tribune de simple bon sens, des soldats qui ont donné leurs plus belles années pour défendre notre liberté, obéissant à vos ordres, pour faire vos guerres ou mettre en œuvre vos restrictions budgétaires, que vous avez salis alors que le peuple de France les soutenait.
Ces gens qui ont lutté contre tous les ennemis de la France, vous les avez traités de factieux alors que leur seul tort est d’aimer leur pays et de pleurer sa visible déchéance.
Dans ces conditions, c’est à nous, qui sommes récemment entrés dans la carrière, d’entrer dans l’arène pour avoir simplement l’honneur d’y dire la vérité.
Nous sommes de ce que les journaux ont nommé « la génération du feu ». Hommes et femmes, militaires en activité, de toutes les armées et de tous les grades, de toutes les sensibilités, nous aimons notre pays. Ce sont nos seuls titres de gloire. Et si nous ne pouvons pas, réglementairement, nous exprimer à visage découvert, il nous est tout aussi impossible de nous taire.
Afghanistan, Mali, Centrafrique ou ailleurs, un certain nombre d’entre nous ont connu le feu ennemi. Certains y ont laissé des camarades. Ils ont offert leur peau pour détruire l’islamisme auquel vous faites des concessions sur notre sol.
Presque tous, nous avons connu l’opération Sentinelle. Nous y avons vu de nos yeux les banlieues abandonnées, les accommodements avec la délinquance. Nous avons subi les tentatives d’instrumentalisation de plusieurs communautés religieuses, pour qui la France ne signifie rien -rien qu’un objet de sarcasmes, de mépris voire de haine.
RépondreSupprimerNous avons défilé le 14 juillet. Et cette foule bienveillante et diverse, qui nous acclamait parce que nous en sommes l’émanation, on nous a demandé de nous en méfier pendant des mois, en nous interdisant de circuler en uniforme, en faisant de nous des victimes en puissance, sur un sol que nous sommes pourtant capables de défendre.
Oui, nos aînés ont raison sur le fond de leur texte, dans sa totalité. Nous voyons la violence dans nos villes et villages. Nous voyons le communautarisme s’installer dans l’espace public, dans le débat public. Nous voyons la haine de la France et de son histoire devenir la norme.
Ce n’est peut-être pas à des militaires de dire cela, arguerez-vous. Bien au contraire : parce que nous sommes apolitiques dans nos appréciations de situation, c’est un constat professionnel que nous livrons. Car cette déchéance, nous l’avons vue dans bien des pays en crise. Elle précède l’effondrement. Elle annonce le chaos et la violence, et contrairement à ce que vous affirmez ici où là, ce chaos et cette violence ne viendront pas d’un « pronunciamento militaire » mais d’une insurrection civile.
Pour ergoter sur la forme de la tribune de nos aînés au lieu de reconnaître l’évidence de leurs constats, il faut être bien lâche. Pour invoquer un devoir de réserve mal interprété dans le but de faire taire des citoyens français, il faut être bien fourbe. Pour encourager les cadres dirigeants de l’armée à prendre position et à s’exposer, avant de les sanctionner rageusement dès qu’ils écrivent autre chose que des récits de batailles, il faut être bien pervers.
Lâcheté, fourberie, perversion : telle n’est pas notre vision de la hiérarchie.
L’armée est au contraire, par excellence, le lieu où l’on se parle vrai parce que l’on engage sa vie. C’est cette confiance en l’institution militaire que nous appelons de nos vœux.
Oui, si une guerre civile éclate, l’armée maintiendra l’ordre sur son propre sol, parce qu’on le lui demandera. C’est même la définition de la guerre civile. Personne ne peut vouloir une situation aussi terrible, nos aînés pas plus que nous, mais oui, de nouveau, la guerre civile couve en France et vous le savez parfaitement.
Le cri d’alarme de nos Anciens renvoie enfin à de plus lointains échos. Nos aînés, ce sont les résistants de 1940, que, bien souvent, des gens comme vous traitaient de factieux, et qui ont continué le combat pendant que les légalistes, transis de peur, misaient déjà sur les concessions avec le mal pour limiter les dégâts ; ce sont les poilus de 14, qui mouraient pour quelques mètres de terre, alors que vous abandonnez, sans réagir, des quartiers entiers de notre pays à la loi du plus fort; ce sont tous les morts, célèbres ou anonymes, tombés au front ou après une vie de service.
Tous nos aînés, ceux qui ont fait de notre pays ce qu’il est, qui ont dessiné son territoire, défendu sa culture, donné ou reçu des ordres dans sa langue, ont-ils combattu pour que vous laissiez la France devenir un Etat failli, qui remplace son impuissance régalienne de plus en plus patente par une tyrannie brutale contre ceux de ses serviteurs qui veulent encore l’avertir ?
Agissez, Mesdames et Messieurs. Il ne s’agit pas, cette fois, d’émotion sur commande, de formules toutes faites ou de médiatisation. Il ne s’agit pas de prolonger vos mandats ou d’en conquérir d’autres. Il s’agit de la survie de notre pays, de votre pays.
Guillaume Bigot
RépondreSupprimer@Guillaume_Bigot
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Dans le monde merveilleux LREM de Macron et de Castex , les factieux sont ceux qui alarment sur les dangers qui menacent la République et les vertueux ceux qui les nient.
L'histoire de l'humanité n'est faite que de conquêtes ou de reconquêtes - les Grecs se sont débarrassé de plus de cinq siècles d'occupation ottomane - à notre époque, une seule chose doit-être retenue : l'islam est incompatible avec la liberté de la pensée.
RépondreSupprimerLe crétin n’est qu’un rigolard, ironiser n’est pas donné à tout le monde, surtout sans être un minimum cultivé.
RépondreSupprimerSUITES
https://claude-bouvard-lucrece.blogspot.com/2021/10/ironiser-est-un-art-bien-difficile.html
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