Liminaire
Contre les mariages arrangés dans l’aristocratie: « Les nobles ne doivent pas se marier par goût ou par amour mais uniquement par intérêt, et en fonction de toutes sortes de considérations secondaires.
Il ne siérait en outre pas du tout à ces haut personnages d'aimer de surcroît leur épouse, une fois qu'elle a fait son devoir et mis au monde un gros héritier mâle ». Mozart
L’enfant de six ans cherchait " des notes qui s’aiment"
Devenu adulte, l’ex enfant prodigieux n‘est ni sentimental ou enclin à la sensiblerie, impertinent, espiègle, grivois, moqueur, ironique, farceur, l’homme Mozart est certes tout cela, mais le musicien est avant tout, le maître des émotions ;
le philosophe Karl Barth aimait à dire que " lorsque les anges jouent pour Dieu ils jouent du Bach, mais, lorsqu’ils jouent entre-eux, ils jouent du Mozart et Dieu écoute aux portes ". N’est-ce pas entendre là le piu di bellissimo de tous les blasphèmes ? - vraiment de quoi alerter l’inconséquente ministre Laetitia Avia, laquelle prend son envol " En marche arrière ", étant donné qu’elle semble n’avoir pas compris l’importance de ce que représente, dans une démocratie, la liberté d’expression.
Seul le passé est immortel, comme tout ce qui est advenu - ici, dans ce qu’il y a de plus beau, c’est la musique de Mozart qui est immortelle, laquelle est due à sa volonté de faire vivre les émotions marquées du sceau de l’universel par l’intercession d’une incomparable trilogie :
Le piano, le goût et l’infinie science de la composition.
La clarinette venue d’ailleurs comme une couleur d’essentiel.
Le chant parce que il aimait les femmes et leur puissante voix de soprano.
Au-delà des éclats de lumières avenu de la pensée de Nietzsche et cela même qu’écrira, plus tard, Freud après avoir, sans scrupule, pillé Nietzsche, Mozart, de par sa qualité artiste ne fut pas seulement le premier de tous les musiciens devenu indépendant – une fois débarrassé de l’emprise du prince-archevêque Colloredo qui le traite de voyou et de crétin, il sera celui du nouveau par qui l’inconscient, pour la première fois, fut introduit dans la musique :
Zerlina chante " Là ci darem la mano ", sa voix laisse sensiblement entrevoir qu’elle n’est peut-être pas totalement séduite par Don Juan, mais qu’il glisse subrepticement sa main sous sa jupe. CRAB
https://laicite-moderne.blogspot.com/2016/01/qui-sont-les-femmes_24.html
Suite 2 :Cosi fan tutte
Suite 3 :déroulé d’articlessur Mozart
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Notes
RépondreSupprimerWolfgang Amadeus Mozart est né le 27 janvier 1756 à Salzbourg.
Fils de Léopold Mozart, compositeur et professeur de musique, Mozart baigne dans la musique dès son enfance.
Son génie est décelé très tôt :
âgé de 3 ans à peine, le jeune Wolfgang a l’oreille absolue et probablement une mémoire eidétique qui lui permet de mémoriser un grand nombre de sons en très peu de temps.
Avant d’apprendre à lire, compter ou écrire, Mozart sait déchiffrer une partition et la jouer parfaitement.
Sans surprise, le prodige de la musique se met à la composition à 6 ans.
Il cherche “des notes qui s’aiment” et écrit ses premières oeuvres : cinq menuets, une sonate et un allegro en 1762.
Entre ses 7 et 8 ans, Mozart compose plus d’une cinquantaine d’oeuvres.
A 11 ans, il s’attaque à son premier opéra :
Apollo et Hyacinthus, qu’il termine le 13 mai 1767.
…
À l’attention de N......e
RépondreSupprimerLe classique ne finit jamais de nous ce qu’il a à nous dire, et plus que tout autres musiciens Mozart frappe l’entendement par la diversité et la richesse de son œuvre.
Aux alentours de la mort de Johann Sebastian Bach, Mozart invente une certaine manière d’écrire la musique le « style classique », une musique marquée par le goût des contrastes ajouté à la symétrie, manie avec brio l’effet de surprise, le changement de nuances, de caractère, de tempo, d’instrumentation.