Une grande pécheresse
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Religion catholique :une religion de cannibales ?
ÀPâques, convenez, en tout cas c’est ce que me disaient certains de mes amis et amiespassés par là durant leur prime enfance,que ce n’est guère ragoutantde consommer le sans saveurs corps*du Christ ( *hostie), d’autant, que quoi qu’on fasse,il ne sera jamais possible de faire d’un pain rassis du pain fraisLa Pâques n’est-t-ellepas l’événementiel lemieux choisi, le plus voluptueuxpoursavourer un succulentcrucifix, de délicieusescloches et autres petits animaux tous plus irrésistiblesles uns que les autres fait de délicats et onctueux chocolats?
Introduitdans la vie quotidienne, pourtoute personne douée de sensibilité autant que de raison le chocolatparle à l’entendement, il remplace avantageusement et de façon nettement plus pérenne le premier jusqu’au dernier des monothéismes
De nombreuses études scientifiques, comptant parmi les plus sérieuses, ont démontré que tous les croyants aimant àsavourerle chocolat sontdesathéessans le savoir
En ces temps « modernes » de saines exaltations c’est à la sciencequ’il faut rendre grâce carnul, désormais,ne peut plus croire ne serait-ce qu’une seule seconde,au stade actuel de nos connaissancessur le chocolat, qu’il est vaind’espérer indéfiniment, pour notre satisfaction,le retour d’un messie - en effet,mieux, plus probant qu’un éventuelretour ou une hypothétique résurrection, désormaisinspiré par nos lointains ancêtres, il est tant pour nous tous qui aimons que les bonnes choses ne finissent jamais, mais cette fois, une fois pour toutes, de nousréférer à un gourmand cannibalisme, un cannibalisme nimétaphysique nisymbolique queseulle vrai de vrai cannibalisme par son intercesseur le chocolat comme principe seulsusceptiblede nous garantirunevie éternelle aux antipodes de toutes formes desoumissions ou d’idéalismes dans l’ennui de je ne sais quelles pérégrinations dans des arrière-mondes sans cacao- Crab - 29 Mars 2016
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Suites 1 :
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Suites 2 :
Suite 3 :
Nous savons que la mort est absence de sensation, et donc que le plaisir est la racine de la morale dans une société où l’urbanité prime sur la religion,.
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