jeudi 30 novembre 2017

Les bonnes mœurs


Inouï
Caroline De Haas ( spécialiste en milieux musulmans de l’élargissement des trottoirs pour permettre aux femmes de circuler sans être importunées... ), invitée un peu partout sur les plateaux de « grands médias»,imperturbable, à présentespère un plan Orsecpour lutter contre les violences faites aux femmes, etainsi deconfondre ce qui es inhérent àla condition humaine avec unecatastrophe naturelleni ne peut à fortiori se compareràun génocide ( féminicide en l’occurrence ) carces femmesn’ont pas été tuées parce qu’ellessont des femmes ce sont des faits criminelscriminels sans le moindre rapportavec la shoah ou le génocide des arméniens 1
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Cette exigence est d’autant plus tragique-comique que dans notre pays,et ce n’est que justice, les femmes ont presquetout gagné ( voir la condition des femmes dans la plupart des autres régions du monde – lire – entre-autres auteures -Leïla Slimani )
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1- Le refus de la séparation est la principale cause du passage à l’acte, aussi, il me paraît utile, une fois de plus, de rappelerqu’en 2016, 126femmes ont été tuées par leur « compagnon » ou leur exet 34hommesl’ont été par leur « compagne » - et d’insister sur le fait que si 126 femmes ont-été tuées, 44des auteurs de crimes se sont aussitôt donné la morttriste bilan de la face peu reluisantede la condition humaine
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Il n’est pas question, pour moi, de minorer les harcèlements sexuels ou moraux ( selon les cas) dont sont victimes majoritairement les femmes mais aussi des hommes ( harcèlements le plus souvent moraux, mais qui n’en sont pas moins humiliants),etc’est une raison de plus d’inviter àréfléchir sur la frustration " pas que sexuelle"qui conduitdes hommes et des femmes à commettre l’irréparable
Cependant il faut observerque, dans notre pays,la très grande majorité de la population « vit » quotidiennementfrustrée de ceci ou parcela sans que leshommesou lesfemmes deviennenttous des assassins -ni pourla grande majorité des hommes de tous devenirdes violeurs oudes harceleurs ;
maissans doute pour CarlineDe Haas(qui elle est une vraie catastrophe naturelle )-sorte dicônearchaïsantde la« sécurité sexuelle », qui pour exister se borne àessentialiserles hommes comme s’il y avait une culture masculine du viol ou du harcèlement,au lieu de participer à la réflexion collectivesurl’incapacité pour la majeure partie despopulations, de notre pays,de résister sainement à la frustrationque révèlebien souvent l’absence deretenue observée à travers descomportements, dont certains sont en effet anormalementnuisiblesàautrui dès l’instant, bien sûr, qu’il s’agit deviol, deharcèlement moral ou encore sexuel
La frustration ( ou les )est globale, presque autantle refus ou l’incapacité psychologique de s’en accommoderou de faire preuve de retenue, cequi ne manque pas delaminerles valeurs d’urbanité -cependant,c’est très exactement le sujet majeur dont doitdébattre la société -maisc’est sansdoute pour cette brave dame,un exercice de réflexion bientrop difficile, c’est tellement plus facile d’incriminer les hommes, les hommes, les hommes...- CRAB
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Suites :Féministes - si vous le dites
https://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/11/feministes-si-vous-le-dites.html?showComment=1511959131648#c1421489465010004305
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Suites 2 :La parole libérée des femmes
http://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/11/la-parole-liberee-des-femmes.html



1 commentaire:

  1. Prétendre introduire la notion de " féminicide " dans le Droit français relève d’un « féminisme » que l’on peut taxer infantile et infantilisant car en France des femmes ne sont pas assassinées parce qu'elles sont des femmes - donc parler de féminicide est tout simplement grotesque ;
    il est bon de rappeler qu’en 2016, 126 femmes ont été tuées par leur « compagnon » ou leur ex et 34 hommes l’ont été par leur « compagne » - et d’insister sur le fait que si 126 femmes ont-été tuées, 44 des auteurs de crimes se sont aussitôt donné la mort – triste bilan de la face peu reluisante de la condition humaine

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