jeudi 11 janvier 2018
Vœux 2018
Macron n’aurait pas dit mieux, et pour nos très distingués économistes ( ceux-là même qu’on voit à la télé ) d’ajouter que " même travailler pour des clopinettes, vaut toujours mieux que de ne pas travailler "
Pour bien commencer l’année:
Conscient de l’impact d’une forme des plus détestables de la pudibonderie qui frappe le mental de milieux visiblement très médiatisés comptant parmi les plus nauséabonds, il me paraît opportun de rappeler que si l’ironie et l’impertinence sont un genre majeur de notre culture, il est humainement bien plus essentiel, attendu que la mort est absence de sensation, pour les femmes qui aiment les hommes et les hommes qui aiment les femmes d’avoir présent à l’esprit que le plaisir dans une société hautement civiliséeest la racine de la morale ;
cela s’entend de ne point accorder le moindre crédit à l'imagerie doloriste dessinée par le lamento de « féministes porcin ou de boudoirs» dont la peur irréductible du sexuel dans la société, sinonpeut-être plus particulièrement le refus d’admettrela sexualité des hommes*1, ne se priveraient pas, pour toutes fins, de jeter les Amoursdans les fosses septiquesau profit de la procréationsi chère à nos économistes patentés main dans la mainavec lareprésentationdes hiérarchies monothéistesen mal de croissance démographique – quand au demeurant, nulle personne ne devrait pasvraiment ignorer qu’il n’est pas de vrai bonheur autres quejouir sans se nuire ni nuire à autrui ?
*1- bien que le rapport au sexuel des femmes et des hommes s’est considérablement rapproché, depuis la fin des années cinquante du siècle dernier,dû auxbien réelles libertés individuelles obtenues contre les religions et en suivantgrâce à une meilleure maîtrise de la contraception -
Durant cette nouvelle années, ne pas manquer une seule occasion designifier urbi et orbi que le féminisme est envers et contre tout universel ainsi que tout bien pesé la laïcité sans adjectif
-en convaincre Macron n’est pas gagné... ni auprès des partisans d’un grotesque statut de première dame de France, d’ailleurs -
Ainsi prendra corps l'année nouvelle, ellen'en sera que meilleure à souhaits pour les incroyants ou les sans religion*2tous, à des degrés diversou d’Été,toujours et toujours en quête de nouveau
*2– 60 % de nos compatriotes sont sans religion -
Néanmoins, dans un but humanitaire des plus louables, à seule fin de ne pas laisser les croyants nos meilleurs ennemissur le bord des chemins bourrés de traîtresses ornièresnise perdreaux croisements des allées marqués par la solitudefigée d’insidieuxcalvaires,rien n’interdit dans notre grande bonté de leur proposer, non pas, à l’orée desbois de bordures, decueillirquelques-uns dans un ensembleaffriandant dechampignons vénéneux – mais de manière préférentielle,n’est-ilpas concevable dedire distinctement à ces braves gens( pas tous)au lieu de se pétrifier dans de vains espoirs ou encore de se déposséder pourdes lendemains incertains,de consacrerainsi qu’uneexigence première lavoluptéheureuse-deprendreuntempsprécieux pour se familiariser avec" L’œuf et la poule" ? - Suites :
https://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/10/luf-et-la-poule.html
CRAB
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Le « féminisme victimaire » est au féminisme universel ce que la pudibonderie est au sexuel dans la société
RépondreSupprimerDepuis la nuit des temps, incandescentes, lumineuses, les femmes indépendantes ont transgressé tous les tabous sans jamais enseigner la liberté par l’écrit ou la parole ni autrement que par leur façon d’être – CRAB
.
Aux antipodes d’un féminisme porcin « Féminisme victimaire » , citation :
Ce n'est pas dans l'agressivité que l'on va faire avancer les choses, ce n'est pas dans la haine de l'homme. (...)
On est responsable de nous-même.
On est assez grande pour dire aussi ce qu'on veut !", estime la comédienne, Laetitia Casta
Enfin, elle dit ne pas se considérer "comme une féministe mais comme une femme.
Il faut que les femmes n'aient pas peur de prendre leur place" , dit-elle.
Réponse à une lectrice :
RépondreSupprimerNon madame, les femmes ne sont pas des petites choses fragiles !
Au lieu de porter aussitôt plainte contre un harceleur ou un violeur, attendre, pour sauver sa carrière, dix ans et plus pour " balancer son porc " c’est faire preuve d’irresponsabilité vis à vis des autres femmes et des hommes qui ne supportent pas les prédateurs sexuels – je ne jette pas la pierre à ces dernières, mais n’ai nulle envie de les soutenir !
Réponse à F.....e V......n - une lectrice :
RépondreSupprimerÉcoutez, je persiste et signe, car depuis plus de quinze ans je ne cesse de dénoncer ce « féminisme » qui n’en est pas, que l’on pouvait qualifier, selon Élisabeth Badinter, de « féminisme victimaire » , qu’en tant qu’homme « pas que féministe » je qualifiais depuis plusieurs année de « féminisme de boudoirs » et à présent de « féminisme porcin » - car ce type de féminisme fait désormais l’éclatante démonstration qu’il a pris le visage d’une haine des hommes et pardessus tout du sexuel dans la société