Si dieu existe– il ne peut-être que musicien
À foison pour ceux qui y croient encore, Bach dans sa perfection-soumission à son dieu par le transfert de l’harmonie à toutes les mélodies les transportent unmomentaux portes du Paradis
Ce qui n’empêche pas un non-croyant avec passion plus que de raison d’apprécier hautement sa musique
Pour le plus grand bonheur desHédonistes ou des libertins libertaires aimant au quotidienà peser le pour et le contre, Mozart musicien mue par un sens inné de la mélodie et de l’orchestration,complexe, nuancé, immense, finement offre une double lecture, l'invitationà vivre au cœurd’un archipel incroyablementparadisiaque - ce Paradis, sur terre, lequel échappe à la noirceur des continents d’idées mortifèresabondées et essaimées par d'arrogants platoniciens - CRAB
Vidéo:
http://blvids.free.fr/Bach_et_Mozart.mp4
Nul à notre époque éclairée ne peut ignorer que dans toute l’histoire de l’humanité, il n’y a jamais eu qu’un seul miracle – La Musique - Suite1:
http://laicite-moderne.blogspot.com/2018/01/cosi-fan-tutte.html
Suite2:
http://laicite-moderne.blogspot.com/2015/07/mozart-lenlevement-au-serail.html
Suite3 :
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Suite4:
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Heureux celui qui prend tout du bon coté -
RépondreSupprimerSource ARTE
La confusion des sentiments mise en musique par Mozart
Les femmes sont-elles fidèles ? C’est la question que se posent les deux officiers Guglielmo et Ferrando dans Così fan tutte, un opera buffa de Mozart. Voulant éprouver la constance de leurs bien-aimées respectives, ils font mine de partir à la guerre. Peu après, ils reviennent déguisés en gentilshommes étrangers pour faire la cour à la fiancée de l’autre.
A l’école de l’amour, certaines leçons s’apprennent vite. Il y a autant de femmes fidèles que de phœnix, raille Don Alfonso. Pour vérifier cette assertion, Ferrando, l’amant de la belle Dorabella, et Guglielmo, le fiancé de Fiordiligi, jouent eux-mêmes les cobayes. Comme prévu, les quiproquos sont au rendez-vous. Mais au final, ils en retirent une leçon simple : « l’homme heureux voit toujours le bon côté des choses ».
Créé en 1790, Così fan tutte, ossia la scuola degli amanti (« Ainsi font-elles toutes ou l’École des amants ») est la dernière collaboration de Mozart avec le librettiste italien Lorenzo Da Ponte, après Don Giovanni et Les Noces de Figaro. Bien que ces trois opéras, auxquels s’ajoutent La Flûte enchantée et L’enlèvement au sérail, comptent aujourd’hui parmi les œuvres mozartiennes les plus renommées, les critiques à l’encontre de Così fan tutte n’ont pas toujours été dithyrambiques. Au XIXe siècle, cet opera buffa avait risqué d’être proscrit en raison de son libertinage et de son traitement trop frivole de la fidélité et du désir. Ni Beethoven ni Wagner n’appréciaient pas particulièrement cette œuvre. Mais ces objections morales n’ont plus cours de nos jours.
L'être humain est la nature et en même temps une petite partie de la nature. La poésie dit l'essentiel avant que la philosophie ne s'en mêle.
RépondreSupprimerDans toute l'histoire de la vie spirituelle de l'humanité il n'y a jamais qu'un seul créateur, le poète, et un seul miracle, la musique.
Nous ne sommes pas de '' passage '' sur terre, mais un temps sur terre, on n'a une deuxième vie quand on n'a compris qu'on n'en qu'une puisque la mort est absence de sensation.
Nos ancêtres gallo-romains avaient le sens de l’honneur, la question qu’ils n’auraient pas manquer de poser urbi et orbi : Pourquoi un cadavre n’a jamais donné de conférence de presse ni ne s’est jamais plaint de l’autopsie ?